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Essai moto QJ Motor SRT 800 SX

Mise en bouche

Bicylindre en ligne de 799 cm3, 92 ch et 77 Nm, 263 kg tous pleins faits, 9 899 euros avec bagagerie, 8 999 euros

Le trail, on n’a plus que ça à la bouche, sourire aux lèvres, rêve de grands raids (restez courtois). Tout le monde s’y met. Mais ce n’est plus le trail de ma tendre adolescence, du 125 DTLC au 650 Djebel, le truc rudimentaire, aux airs de gros cross, au prix ras des pâquerettes, qu’il promettait de labourer. La BM’ GS a bouleversé la notion même de trail. Quand on l’attendait léger, pas trop puissant et abordable jusque dans les années 2000, il est devenu tout le contraire : lourd, hors de prix et au moins 90 bourrins. D’un coup, les ventes de BM’ GS se sont envolées (et il faudrait se pencher sur le pourquoi, parce que ce n’est pas juste dû au fait qu’elle soit passée en 1200 cm3, m’est avis…), tous les autres l’ont regardé bouche bée, ont essayé de réagir (Yam’ Super T 1200, Moto Guzzi Stelvio, Suzuki V-Strom, Honda Varadero (!), Tiger 955, même Harley avec la Panamerica…), mais c’est la GS qu’ils voulaient. Rien n’a trop changé depuis, malgré les coups de mousquet de la Honda Africa Twin.

La QJ SRT 800 se pique d’attaquer le monument par un autre biais, le tarif. Moins de 10.000 euros avec l’équipement voyage (bagagerie complète), selle et poignées chauffantes, un bicylindre de 92 ch… mais un poids de 263 kg tous pleins faits.

Essai trail QJ Motor SRT 800 SX
Essai trail QJ Motor SRT 800 SX

Découverte

Des rumeurs ont d’abord circulé selon lesquelles QJ Motor préparait une salve de trails de moyenne cylindrée, y compris un 650 V-twin, puis un 600 4 cylindres, ainsi qu'un 800 bicylindre. On est mal informé des volutes mystérieuses qui s’échappent des brainstormings chinois. C'est finalement la 800 SX qui a été révélée à l'EICMA. Pas vraiment une surprise vue la popularité de ce segment, de la Yamaha Ténéré 700 à la Suzuki V-Strom 800 en passant par l'arrivée récente de la Honda Transalp 750. Et la Voge Valico DS900X. QJ Motor possède 60% de Benelli et on se dit que le 800 doit être celui de la Leoncino… mais non. QJ Motor revendique une véritable cylindrée de 800 cm3 alors que le Benelli est en réalité un 752. Ce nouveau 800 bicylindre parallèle QJ est assez similaire au moteur LC8c de KTM, qu’on retrouve sur les 790/890 Adventure. Mais est bien une création QJ, motoriste moto du groupe Geely.

Le trail QJ Motor SRT 800 SX
Le trail QJ Motor SRT 800 SX

Ce nouveau moteur conserve l'architecture bicylindre, calé à 180°, orienté vers l'avant, avec double arbre à cames en tête et quatre soupapes par cylindre, refroidissement liquide, à injection évidemment. Une cavalerie libérée un poil haut, le couple maximal de 77 Nm s’atteint à 8000 tr/min, a priori pas top pour un trail baroudeur. Sympa, il est dispo pour les permis A2. Boîte à 6 rapports, transmission finale par chaîne, c’est comme tout le monde, peu ont suivi la transmission par arbre et cardan de la GS et heureusement ici parce que le poids aurait encore bien pris 7 ou 8 kg.

Le bicylindre parallèle délivre 92 ch et 77 Nm
Le bicylindre parallèle délivre 92 ch et 77 Nm

Côté partie-cycle, on trouve un cadre en tubes d’acier, un long bras oscillant (bien pour la stabilité et la motricité, moins pour l’agilité) qui explique les 1 540 mm d’empattement, une grosse fourche Marzocchi de 43 mm de diamètre et un monoamortisseur de la même marque (sans biellette, pas top pour le tout-terrain), parce qu’elle appartient au même groupe que QJ. Les suspensions sont réglables. Jante de 19 pouces devant, avec un pneu de 110 de large et jante arrière de 17 pouces pour un pneu de 150 (Metzeler ne monte d’origine), ça devrait favoriser cette fois la maniabilité. La hauteur de selle est donnée pour 835 mm mais la selle est assez large.

La SRT présente 1.540 mm d'empattement
La SRT présente 1.540 mm d'empattement

Pas mal, la béquille centrale est de série. L’équipement comprend aussi un port USB (rien à voir avec la béquille mais je le place là). Mais question modernité électronique, ça ne va guère plus loin, hormis le bel écran TFT large, de 7 pouces. Pas de ride by wire ni de modes moteur, un ABS qui ne peut être déconnecté à l’arrière, pas d’antipatinage.

Le compteur TFT de 7 pouces apporte un peu de modernité
Le compteur TFT de 7 pouces apporte un peu de modernité

Les Chinoises, on les attend surtout sur la finition, crocs apparents, index levé, sourcils froncés. Les soudures du cadre sont bien faites, les jointures des plastiques aussi, les commodos sont moins glam’, ils ont un côté jouet (mais rétroéclairés, dans la cour d’école, ça aurait fait un carton). La ligne manque d’élégance, le bec de canard trop large alourdit l’allure, mais la SRT 800 SX passe du coup pour une grosse bécane, valorisante. Avec les valises et le top case, y a moyen de passer pour le Bob Morane des années 2020, faudra éviter de la nettoyer ou l’asperger d’une boue rouge type Afrique, Bandana autour du cou, le cheveu sale, le pantalon textile griffé par une lionne à l’instinct trop maternel, alors que vous aviez laissé passer ses petits sur un single, au fin fond du Mozambique. Et puis le réservoir joufflu de 24 litres, pour enquiller la Mauritanie à bloc, les Toyota vénères au derrière.

Les lignes de la SRT collent de près aux standards des trails
Les lignes de la SRT collent de près aux standards des trails

En selle

Revenons à Beaune, siège de la SIMA, l’importateur QJ Motor en France. Il caille, il a même neigé sur les collines et flotté plus bas. Genre de Mauritanie maussade et dystopique. Aux vignes alléchantes. Moment crucial, vais-je mettre deux points de pied au sol ? Tout juste, parce que la selle est assez large, son ergonomie ne facilite pas la vie des personnes de taille réduite (c’est quoi, entre le mètre 60 et 70 ?). L’équilibre à l’arrêt ou basse vitesse est perturbé par la bagagerie qui porte le poids vers l’arrière. Le débattement des suspensions, non précisé, semble assez important, la fourche plonge pas mal au premier freinage. La prise en main n’est pas repoussante mais demande un temps d’accoutumance, trouver ses marques, comment la moto réagit… Le poids est plutôt haut perché, surtout avec le plein, la SRT rassure surtout au-dessus de 50 km/h, elle peut dérouter au début en dessous. La course de la pédale de frein arrière est trop longue. Le feeling du frein manque de progressivité, le levier offre une course courte d’attaque. La boîte fait preuve de plus de douceur, les premiers rapports montent faciles, sans à coup de transmission. La poignée de gaz, par câble, est souple aussi, assez précise. Comme le moteur sur ses premiers régimes, ça ne cogne pas.

La bagagerie est pratique, mais doit être prise en compte pour les évolutions à basse vitesse
La bagagerie est pratique, mais doit être prise en compte pour les évolutions à basse vitesse

En ville

Toujours ce souci de hauteur de selle, on finit par s’y faire, souplesse du bassin. L’ensemble moteur/boîte, docile, laisse la SRT se faufiler sur un filet de gaz. Mieux vaut garder toujours un peu de vitesse pour ne pas se laisser déstabiliser par le poids, haut placé. Peut-être que ce ne serait pas idiot de remonter un rien les tubes de fourche dans les tés, pour accentuer le poids sur l’avant, qui semble flottouiller à basse vitesse.

Le poids du trail est plutôt haut placé
Le poids du trail est plutôt haut placé

Rétros super lisibles, guidon plus haut que les rétros des bagnoles (sauf les SUV et ils pullulent), la SRT reste un trail donc assez à l’aise en ville, de manière paradoxale. Puisque le Mozambique a défini son chemin de vie…

Autoroute et voies rapides

Royale sur les larges voies, la SRT, parce que à vitesse normale (la moto, c’est chouette au-dessus de 80 km/h), elle est imperturbable en ligne droite. L’assise détend, bonne position du guidon cintré, très bon confort de selle, suspensions un peu souples donc agréables ici. A 130 km/h, ça ronronne à 6 000 tr/mn environ, on ne vient pas au bout des 24 litres d’essence à ce rythme avant 300 km. Mais la bulle manque de hauteur, le flux d’air vient direct sur le casque, l’option bulle haute n’alourdira pas trop la facture, on vient à peine de franchir les 10 000 euros avec tout l’accastillage de l’aventurier contemporain. Et ça vibre un peu au niveau du réservoir.

La SRT présente une bonne stabilité, mais manque un peu de protection et génère des vibrations au réservoir
La SRT présente une bonne stabilité, mais manque un peu de protection et génère des vibrations au réservoir

Départementales

Bon, c’est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, on finit par sentir le poids quand on bouscule la SRT 800 SX. Les suspensions se débrouillent bien en confort, elles peinent plus sur les contraintes et les transferts de masse. Un côté cheval à bascule. Le moteur n’aime pas trop les hauts régimes, ou alors il les aime mais crie d’un plaisir un peu douloureux, qui rappelle les blocs Kawa 650, type Versys. Dommage, le couple maxi est haut perché, les 92 vont se chercher à 9 000 tr/mn, la sonorité du parallel twin ne donne pas envie à ces régimes là. Dessous, la souplesse est toujours de mise, on enroule facile entre 4 000 et 7 000 tr/mn, une plage que j’ai fini par adopter, à défaut de Sénégal.

Le Twin est assez souple, mais il faut monter dans les tours pour aller le chercher le couple
Le Twin est assez souple, mais il faut monter dans les tours pour aller le chercher le couple

En entrée de courbes bourguignonnes, sur des routes bosselées par les tracteurs et les C15 surchargés de caisses de pinard, je suis plutôt hésitant au début, je garde du frein avant pour conserver du poids devant, mais sur l’angle, ça ne bronche pas, belle stabilité. Pareil pour la motricité, avant de faire glisser ou prendre en défaut la QJ, va falloir s’enjailler. Les mouvements de suspension provoquent un léger doute, qui n’a pas lieu d’être, mais la SRT s’apprend peu à peu. Elle n’a pas l’aisance immédiate d’une Honda Transalp 750 ou d’une Suzuki 800 DE. Elle ne donne pas l’impression de s’ancrer dans le bitume, de s’y fondre, alors qu’elle ne montre aucun problème de tenue de route, c’est juste une question de feeling, de retour d’info des suspensions. Les vibrations brouillent aussi un peu le message. A propos de message, un rayon de soleil (tout arrive…) vient caresser le tableau de bord, qui perd pas mal en lisibilité.

Le trail ne bouge pas de sa trajectoire sur l'angle
Le trail ne bouge pas de sa trajectoire sur l'angle

Partie-cycle

Je n’ai pas eu le temps d’essayer la SRT 800 SX dans les chemins, je sais déjà que je ne m’y serais pas senti super à l’aise. La moto est plutôt haute, les suspensions privilégient le confort, la moto est aussi longue avec du poids sur l’arrière avec les bagages, vides en plus lors de l’essai. L'équilibre d’ensemble peut être amélioré, avec une répartition des masses plus centrales et des suspensions plus progressives.

Les suspensions sont surtout réglées pour le confort
Les suspensions sont surtout réglées pour le confort

Confort/duo

Le confort, c’est son truc ! Seul ou en duo. La position de conduite est cool, malgré des repose-pieds un peu en arrière, les suspensions souples, il manque juste de la protection de la part de la bulle. Les commandes douces accentuent encore un bien-être évident quand on roule cool.

Le confort est assurément le point fort de la SRT 800 SX
Le confort est assurément le point fort de la SRT 800 SX

Freinage

Etriers Brembo à fixation radiale, deux disques de 320 mm, l’efficacité du freinage ne souffre pas de reproche, on aimerait juste un peu plus de progressivité. Le frein arrière ralentit bien mais la course de la pédale est longue. L’ABS ne se déclenche pas trop tôt, même sur les routes bosselées.

Les étriers radiaux Brembo offre un freinage efficace
Les étriers radiaux Brembo offre un freinage efficace

Consommation

La journée d’essai n’a pas permis de faire un relevé précis de la conso, qui tourne autour de 5,5 l/100 km.

La SRT 800 SX consomme environ 5,5 l/100 km
La SRT 800 SX consomme environ 5,5 l/100 km

L'essai vidéo de la QJ Motor SRT 800 SX

Conclusion

Les constructeurs chinois montent en gamme, aucune équivoque. Je me souviens des premières Benelli TRK 502, il y a sept ou huit ans, catastrophiques. Aujourd’hui, on pointe des détails, parfois des lignes grossières, quelques défauts de finition comme des câbles apparents ou des commodos en toc, comme sur la SRT 800 SX. Revers d’une médaille frappée sur l’enclume d’une politique qui atteindra bientôt ses limites : entrer sur le marché européen avec des tarifs intéressants (notamment en termes de rapport prix/équipement, la SRT a de série la selle et les poignées chauffantes, une béquille centrale) et commencer à taquiner une concurrence qui a placé la finition et le design a un niveau très haut. Si les QJ veulent se hisser là, il leur faudra monter en prix en même temps qu’en qualité. Sinon, elles conserveront leur statut de Chinoises, comme un pis aller. Pourtant, la SRT ne manque pas de qualités, son moteur souple, ses suspensions confortables, sa bonne position de conduite. Il lui faut développer son identité, qui passe aussi par une approche différente, au-delà du tarif. Ce qu’a réussi à faire QJ avec le custom SRV 600. Ou la Moto Morini 650 X-Cape, avec son look un peu sportif, son moteur fiable et son comportement rigoureux, pour moins de 10 000 euros aussi. Après, les Honda, Suzuki ou BMW seront plus difficiles à aller chercher, mais pas inaccessibles. La SRT 800 SX est une mise en bouche affriolante, attendons de voir son évolution.

La QJ SRT 800 SX
La QJ SRT 800 SX

Points forts

  • Position de conduite
  • Confort
  • Souplesse moteur
  • Rapport tarif/équipement

Points faibles

  • Quelques vibrations
  • Frein avant peu progressif
  • Poids élevé
  • Répartition des masses avec la bagagerie

La fiche technique de la QJ Motor SRT 800 SX

Conditions d’essais

  • Itinéraire : 180 km routes sinueuses
  • Météo : très nuageux, 4°C à 17°C
  • Problème rencontré : ras

Equipements de série

  • ABS
  • Prise USB
  • Connectivité Bluetooth

Disponibilité / prix

  • Coloris : Bleu - Noir
  • Prix : 8.999 euros - 9.899 euros avec bagagerie
  • Disponibilité : juin 2024

Equipements essayeur

  • Casque X-Lite X 801 Carbon
  • Blouson cuir Segura Bongo
  • Jean Vanucci
  • Basket Cofra

Commentaires

Meuldor

Zef enchaine les essais de motos Chinoises avec rigueur et objectivité. Bravo à lui. Je n’arrive toutefois pas à trouver du charme à ce type de trail lourdeau.

15-06-2024 08:17 
Poireau

Tu ne trouves pas de charme à ce type de trail lourdeau pour la bonne raison qu'il n'y en a pas.

15-06-2024 11:00 
ludo51

Voilà ....
Enième clone de la production trail actuelle mondiale n n'offrant rien d'original , à part son prix !
Ce n'est de toute façon pas le but des chinois , leur objectif est d'inonder le marché mondial en multipliant les marques et les modèles , et une fois fait , la clientèle captive aux ressources "normales" n'aura plus de choix autre qu'acheter chinois.
Et alors , sans vraie concurrence , ces derniers pourront augmenter gentiment leurs prix ....

15-06-2024 14:22 
pierre.30

Je voit pas trop ou est la copie, le moteur est qj motor, la ligne ressemble a un gros trail mais n'est pas copié non plus, elle respecte les code du genre, le rapport equipement/prix/prestation est imbatable. comparé a une bmw a moteur chinois ou a une triumph qui est un assemblage de piece chinoise en thailande, pourqoi pas.

15-06-2024 16:56 
Picabia

Triumph assemblé en Thailande d'accord, pièces chinoises pas sûr.
Il se trouve que la chine a en ce moment un problème de demande sur son marché interne ce qui la pousse à exporter en masse pour maintenir son taux de croissance.
Quitte à faire du dumping.
Je rejoins Ludo51,les chinois doivent prendre place sur un marché déjà mature, l'originalité ils s'en moquent un peu.
Ils fournissent déjà l'électronique au monde entier et il reste le prix pour faire la différence.
Ils visent la classe moyenne, la plus captive, celle qui un jour n'aura plus le choix que d'acheter chinois.
D'ailleurs ce n'est pas pour rien qu'ils viennent faire leur marché en Europe avec la complaisance aussi de constructeurs historiques.

15-06-2024 18:19 
troncherouge

Pour à peine plus cher,la voge c'est autre chose,au niveau des 900 GS. Là j'ai l'impression que l'essai est très bienveillant.

15-06-2024 20:55 
Philippe21

263 kg c'est le poids avec ou sans la bagagerie ?

16-06-2024 12:23 
Alphonse Encourbe

Ça fait lourd 263 kg. Et puis un strapontin passager sur un trail? Je comprends pas.

16-06-2024 18:35 
coxecab

C est visuellement très convaincant.. et elle parait bien équipée en plus …reste comme toutes motos à suspension réglables à trouver ses propres réglages… les chinois frappent très fort …c est vraiment étonnant en rapidité de production… c est juste l avenir et pourquoi pas vu la qualité devenue vraiment apparente … j hésiterai entre la Suzuki 800 la transalp 750 et les nouvelles Chinoises finalement.. à essayer ..

17-06-2024 21:42 
troncherouge

263 kg avec la bagagerie pleine. Font fort les chinois avec le concept du prêt à partir. Lingerie, vêtements, petit matos de camping, bombe de graisse, flacon produit vaisselle. Je me demandais pourquoi sur le bon de commande Ils exigent taille et pointure de monsieur et madame.... Cela va donner des idées à BMW pour un nouveau pack....le pack Bertha.

17-06-2024 22:36 
Charlie_41

Qianjiang fait du Qianjang. C'est pas cher, ça a le look d'une moto 2 fois plus chère, mais au final ça semble plus être une lourde routière sur des échasses qu'une réelle alternative aux Transalp, Ténéré, et même Voge.
Sa seule concurrente, c'est la DL 1050, qui reste plus désirable en occasion que cette SRY neuve.

21-06-2024 21:39 
JCF69

C'est rigolo, ce gros appendice nasal sous les 2 optiques de phares en forme d'yeux sévères entouré par un masque orange moi ça me fait penser au concombre masqué de Mandryka (https://www.bedetheque.com/BD-Concombre-masque-Tome-6-A-la-poursuite-du-Broutchlag-mordore-19035.html) :)

27-06-2024 21:05 
 

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