Essai Royal Enfield Bullet Standard
La machine à remonter le temps
Née en Grande-Bretagne dans les années 1890 (et émanation d’une fabrique d’armes, d’où le nom de ses modèles, Bullet), mais indienne depuis la fin des années 1940, la firme Royal Enfield est aujourd’hui en pleine expansion. La Bullet Standard que nous vous présentons constitue le modèle d’accès d’une gamme composée également des Classic (reconnaissables soit à leur livrée deux-tons où le chrome est parfois généreusement présent, soit en version « militaire » en déclinaison kaki ou désert) ainsi que de la Continental GT, plus « sportive ». Bullet Standard et Classic utilisent un monocylindre 4T longue course refroidi par air développant 28 ch, tandis que la Continental GT fait appel à une déclinaison 535 cm3 (et 29 ch) du même bloc.
Expansion, disons-nous : l’usine de Chennai (Inde) est passée d’une capacité de 30.000 motos par an à 30.000 par mois, une usine et un centre de R&D en Grande-Bretagne sont sérieusement à l’étude, une nouvelle version trail (baptisée Himalayan, avec un mono de 410 cm3) ainsi qu’un bicylindre vertical de 750 cm3 sont dans les cartons, le designer Pierre Terreblanche (auteur des Ducati 999 et des premières Multistrada) a été embauché : bref, ça bouge. En attendant, la Bullet Standard constitue la manière la plus économique d’accéder au mythe : 4985 €, en noir ou vert anglais.
Découverte
Simple. Classique. Classe. Intemporelle. Parfaitement démodée. Totalement has been. Rayez les mentions inutiles.
Selon votre appétence avec la Grande Encyclopédie de la Moto, vous trouverez la Bullet Standard irrésistiblement sympathique ou terriblement ringarde. Question de goûts donc. Ce qui est sûr, par contre, c’est que Royal Enfield connaît un joli retournement de destin. Vouée à l’oubli par une production réduite de machines obsolètes achetées par des nostalgiques obsessionnels et des fanatiques du bricolage, Royal Enfield a su rebondir en modernisant ses machines en 2008 avec la génération EFI dotées d’un bloc-moteur alu et de l’injection électronique tout en sachant capitaliser sur le retour en grâce du vintage. Résultat et ironie du destin : la Bullet Standard est devenue furieusement tendance et possède un véritable capital sympathie. Elle est pourtant extrêmement classique, mais a su faire mouche grâce à quelques détails tels que les plaques émaillées sur le réservoir orné de filets peints à la main ou le feu arrière rond installé sur une plaque horizontale. Cependant, la finition d’ensemble est juste moyenne et une Enfield demande quand même un peu d’huile de coude pour rester belle longtemps.
Parler de « personnalisation » serait un brin exagéré, mais peu de Royal Enfield restent totalement d’origine. Celle que nous vous présentons ici diffère de l’original par ses clignotants, ses veilleuses, son silencieux d’échappement plus court, ses sacoches latérales et ses pneumatiques. Notez cependant que la forme du cadre, du réservoir, des filets de peintures et des plaques émaillées sont identiques à celles du millésime 1949. Le moteur alu injecté, le frein avant à disque et le démarreur électrique constituent les seules touches de modernité apparentes.
En selle
La Bullet Standard est une moto fine et compacte. Et dense : avec 187 kilos à sec, elle est plus lourde que l’on imagine au premier abord. La bonne nouvelle, c’est que son poids ne se sent pas vraiment. La position de conduite est assez naturelle. Certains « pilotes » trouveront les repose-pieds installés un peu trop en avant, mais on s’y fait assez rapidement. L’ergonomie de la Bullet actuelle datant des années 40, les grands gabarits risqueront de considérer que la position de conduite est un peu « ramassée » au fil des heures de route.
Contact
Pas de clé codée ici : un simple antivol est situé sur la colonne de direction. Le tableau de bord est rudimentaire : un compteur avec trois voyants, un cadran secondaire avec un témoin de réserve, un témoin d’injection et de disfonctionnement moteur.
Le témoin d’injection s’éteint au bout de quelques secondes : on peut alors appuyer sur le bouton de démarreur et l’Enfield s’ébroue instantanément. Enfin, seulement si on effectue l’opération sur la béquille centrale : la latérale fait office de coupe-circuit.
Au ralenti, la roue avant est prise de tremblements saccadés qui préfigurent du caractère moteur de l’engin : il y a de la vie, là-dedans !
Par rapport aux précédentes générations de Bullet à moteur fonte franchement rustiques (frein avant à tambour et boite de vitesse à droite) ainsi que des Leanburn (une série transitoire avec bas moteur en fonte et haut moteur en alu, démarreur électrique et frein à disque), il faut reconnaître que les EFI ont fait d’immenses progrès en termes de prise en main. Désormais, la boîte de vitesse est douce et verrouille convenablement les rapports ; les commandes répondent de manière précise, la moto démarre au quart de tour et tient le ralenti ! On n’est pas encore sur le feeling d’une Honda, mais presque. Les commodos sont aux standards japonais et malgré l’injection électronique, une commande de starter au commodo gauche est utile pendant quelques secondes lors des démarrages à froid. Au besoin, un kick a refait son apparition après avoir disparu pendant quelques millésimes. Démarrer l’Enfield d’un coup de jarret demande cependant un petit peu d’habitude ; une fois l’expérience acquise, cela n’a rien de compliqué.
En ville
Voici l’un des territoires d’expression de la Bullet. Posée sur des pneumatiques plus étroits que ceux de nombre de 125 cm3, la Bullet dévoile une agilité démoniaque. Par rapport aux modèles Classic posés sur des roues de 18 pouces, la Bullet Standard est montée en 19’’ : si l’on compare directement les deux modèles, on constate que le modèle Standard fait montre d’une très légère raideur au moment de tomber sur l’angle, mais il s’agit plus d’un trait de caractère que d’un défaut qui handicape la conduite.
Étroite, la Bullet Standard se faufile entre les voitures en toute simplicité. Le caractère de son monocylindre longue course n’incite pas à tirer les rapports à chaque accélération, mais au contraire à profiter de sa grande souplesse qui, en démultiplication d’origine, lui permet de reprendre dès 30 km/h en troisième ou à 50 km/h en quatrième, pour enrouler ensuite sur le couple. À son guidon, on adopte naturellement une conduite apaisée, en douceur, en sachant qu’au besoin, les 4 m/kg de couple suffiront à se sortir d’une mauvaise passe.
Petit bonus : la Bullet dispose d’un véritable capital sympathie et est un engin propice à nouer bien des conversations. Hélas, plus avec des quinquagénaires barbus qu’avec de girondes jeunes filles.
Autoroute
D’un point de vue strictement légal, la Royal Enfield Bullet Standard est autorisée à emprunter ces voies de circulation. De fait, elle respectera scrupuleusement la vitesse maximale autorisée.
Départementales
C’est sans aucun doute le meilleur endroit pour profiter d’une Bullet Standard. On retrouve ainsi l’essentiel des sensations de la moto telle qu’on la pratiquait dans les années 50, le nez au vent : un moteur simple et coupleux qui pétarade joyeusement, un châssis basique mais qui fait le boulot à un rythme balade. La Bullet Standard est une ode à la simplicité, la plus belle incarnation d’une pratique de la moto sans artifices. Authentique ? Oui… et terriblement séduisante si vous avez l’état d’esprit qui convient.
Les Bullet sont gréées d’origine avec des démultiplications assez courtes : normal, en Inde, tenir le 70 ou le 80 km/h sur l’autoroute est une belle performance, rare ! Chez nous, par contre, on peut avoir le sentiment qu’elles « moulinent » un peu. Difficile d’être extrêmement précis faute de compte-tours, mais disons qu’une Bullet Standard en démultiplication d’origine (avec pignon de sortie de boite de 17 dents) possède une vitesse de croisière de 90 km/h ; au-dessus, la machine commence à vibrer copieusement et les monos longue course n’aiment pas les haut régimes prolongés, même si l’engin peut atteindre officiellement les 130 km/h compteur en pleine furie. On peut donc installer un pignon de sortie de boîte de 18 voire de 19 dents (mais comme la transmission se situe à droite, il faut démonter le carter et vidanger), pour gagner une zone de confort d’une dizaine de km/h à chaque fois, le couple moteur étant suffisant pour digérer ce supplément d’allonge. Ainsi, la Bullet ne devient pas un foudre de guerre pour autant, mais est plus à l’aise pour dépasser.
Le châssis offre un comportement routier correct, en phase avec les performances de la machine. En attaquant un peu, le manque de rigidité du cadre apparaît rapidement et la béquille centrale vient racler dans les virages, mais à aucun moment la Bullet Standard n’est malsaine si on la conduit en respectant sa philosophie.
Freins
Pas de surenchère ici : la Bullet Standard (comme la Classic, la Continental GT ayant elle un disque à l’arrière) fait appel à un petit frein à disque de 280 mm de diamètre à l’avant, pincé par un petit étrier à deux pistons, ainsi qu’à un frein à tambour de 152 mm à l’arrière. Cela peut paraître un brin chétif.
Mais regardez sur les forums de propriétaires (royalenfieldlesite.com/forum) : si les grincheux sont aussi nombreux que les fanatiques, personne ne se plaint du freinage. Tout est question de philosophie et le dispositif est suffisant au vu du poids et des performances. Sans compter le petit plus du monocylindre : son frein moteur.
Confort
La Bullet n’est pas vraiment confortable mais elle n’est pas non plus inconfortable : la vitesse de croisière modeste ne vous fera pas ressentir le besoin d’un carénage ou d’une protection contre le vent. La selle est mieux rembourrée depuis les millésimes 2014. Le double amortisseur arrière est assez basique : cependant, comme on anticipe plein de choses au guidon d’une Enfield, on a le temps d’éviter les trous et les bosses. La Standard est même la plus confortable des trois modèles (la Classic dispose d’un pouf adaptable pour le passager, qui retransmet plus les vibrations, tandis que la Continental GT est plus spartiate) : bref, on peut envisager des virées de plusieurs centaines de kilomètres par les petites routes en duo sans ressentir de douleurs particulières.
Consommation et entretien
C’est incontestablement LE point fort de la machine : sa sobriété est exemplaire et elle est probablement la machine la plus économe en carburant de toute la production moto. L’exemplaire que nous vous proposons à l’essai dispose d’un carnet de bord complet sur plus de 8000 kilomètres, où toutes les consos ont été enregistrées : l’amplitude va de 4,44 l/100 (que du Paris intra muros) à 2,99 l/100 (une petite balade tranquille sur la route côtière en duo, entre Essaouira et Agadir), avec une moyenne à 3,7 l/100. En duo, sur des départementales parcourues à vitesse légale, vous consommerez entre 3,2 et 3,5 l/100. Les 14,5 litres du réservoir permettent ainsi une autonomie qui approche les 400 kilomètres.
Puisque l’on parle de budget, sachez que la Bullet est également extrêmement frugale avec les consommables, pneus, freins et chaîne… Même si elle doit passer à l’atelier pour une révision tous les 6000 kilomètres et vidanger ses 2,75 litres d’huile, la Bullet peut se targuer de coûts d’utilisation réduits. Les soupapes, par exemple, se règlent automatiquement grâce à des poussoirs hydrauliques.
Pratique
D’origine, la Bullet Standard dispose de peu d’aspects pratiques. Le niveau d’huile se vérifie par une fenêtre sur le carter, moto posée sur la centrale. Un petit coffre latéral, sous la selle, contient la trousse à outils et la béquille centrale est d’origine. C’est peu, mais la Bullet s’accessoirise facilement de sacoches latérales, d’un porte bagage et d’une sacoche de réservoir. En Inde, la Bullet se transforme en cheval de trait avec des armatures latérales qui lui permettent de transporter des jerrycans d’essence et des dizaines de kilos de bagages.
Conclusion
C’est évident, la Royal Enfield Bullet Standard constitue une belle façon de rouler différent. Face à une Yamaha SR 400 au tarif ridicule et à une Mash 400 « Five Hundred » un rien artificielle, la Royal Enfield Bullet Standard, modernisée a minima, a su garder ses traits de caractère en oubliant désormais d’être caractérielle et est vendue à un prix finalement assez acceptable. Son style séduira les nostalgiques comme les bobos, ses performances la rendent toujours plus pertinente à l’heure du « tout répressif », son agilité et sa frugalité en font un bon commuter tandis que les progrès réalisés en termes de fiabilité permettent d’envisager une relation de longue durée sans trop de zones d’ombre. Certes, à son guidon, il faut savoir aussi prendre le temps de vivre. Mais le temps n’est-il pas le plus abordables des luxes ?
Points forts
- C’est un morceau d’histoire !
- Caractère moteur et agrément général à allure raisonnable
- Sobriété exemplaire
Points faibles
- Demande un petit « sens de la mécanique » pour être appréciée pleinement
- Performances objectivement limitées
Commentaires
Jolies photos sur la route du Tizi n test, avec la fameuse épave de camionnette qui marque l'emplacement du déco parapente ^^
16-10-2015 16:03J'ai pu tester ce modèle hier grâce à tendance Roadster à Levallois, que du bonheur, une vraie machine à remonter le temps. Grand sourire à petite vitesse, rythmée par le poumpoumpoum de la bête.
"le designer Pierre Terreblanche (auteur des Ducati 999 et des premières Multistrada) a été embauché"
17-10-2015 14:28Aïe !
Je me suis faite la même réflexion à propos du désigne hère...
02-11-2015 13:09Bon n'empêche que j'adore l'esthétique de cette moto, mais franchement ces performances d'un autre age, je suis pas encore prête...
Avec 10 chevaux de plus et 15 kilos de moins, ok.
J'ai acheté cet été 2016 une Royal Enfield Standard.
24-09-2016 13:32La finition est déplorable voire horrible, la chaîne secondaire n'est pas à joints toriques. Cette moto plafonne en croisière entre 90 et 100 , de quoi se faire pousser par tout ce qui roule "voitures, coursiers et certains PL" c'est dangereux ! sans possibilité d’accélérer. J'ai eu toutes sortes de motos depuis les années 70 ; mais avec Royal Enfield on remonte aux années 50 avec la circulation de 2016 ! Pour résumer, cette moto est faite soit pour les pseudos nostalgiques de motos qu'ils n'ont même pas connus dans leur jeunesse, ou alors ils ont plus de 80 balais. Je ne parle pas de la corrosion et du freinage même en conduite pépère. Les Indiens vendent des motos en Europe faites pour leur Pays, sans se soucier du reste.
Ils ont trouvé le filon Vintage bobo mais pour combien de temps?
Je me suis trompé, je suis vite retourné à ma Japonaise Honda à qui je n'ai rien à dire si ce n'est qu'elle a tout pour elle. C'est ce que n'aiment pas les faux puristes.
En prenant de l'âge, je croyais que je devais rouler sur une moto de vieux ; quelle erreur ! Il faut vivre avec son temps. Mon roadster est parfait. Il y a bientôt 40 ans, j'achetais un autre roadster en avance sur son époque HONDA CBX 1000 6 cylindres.
J'ai roulé en Royal Enfield en Inde, standard et classique ( modèle 2016). En Inde il n'y a pas d'injection et tout les dispositifs sur les modèles importés, comme béquille, catalyseur etc... C'est effectivement une moto d'un autre temps qui fais énormément envie et donne le sourire, mais ici c'est une moto uniquement pour des balades tranquille sur petite route ou nationale comme expliqué dans cet essai, n'attendez pas d'avoir ,le look avec son bruit magnifique d'échappement pour un usage de tout les jours, un usage autoroute ou sportif, c'est une très belle moto qui a su voyager mais qui est restée une mémère qui vous file la banane quand vous êtes dessus. La finition est effectivement légère(patte de fixation boitier qui lache malgré relance des concessionnaires à l'importateur) chrome de mauvaise qualité qui rouille vite(même neuve déjà sous écrou du guidon). Par contre niveau esthétique il aurait pu conserver l'ampèremètre ( comme en Inde) au lieu de ce support juste avec les 2 voyants (essence et injection) ou faire un niveau essence à aiguille avec voyant injection, ça serait plus dans l'exprit de la moto qui avait son ampèremètre à aiguille, la y a vraiment une faute de goût dans l'esprit de cette moto.Ca reste une très belle moto pour de belle balade pépère.
02-10-2016 09:28J'ai ce modèle depuis un plus d'un an et demi, acheté neuf.
06-10-2016 16:12Après 17000 km sans soucis sur les petites routes de France (cet été traversée des Pyrénées d'Ouest en Est), je peu assurer que c'est une excellente machine pour rouler tranquille sur les départementales.
A 63 ans, je la trouve très confortable avec sa position de conduite, buste droit, car j'arrive à faire 600km dans la journée sans mal de dos.
Le "Poum poum" de ce moteur coupleux est vraiment agréable, quand à son esthétique, elle attire la sympathie. Mes précédentes motos étaient des japonaises bien plus impersonnelles, et je regrette pas mon choix.
je partage l 'avis de JPM . j 'ai acheté une royal Enfield classic fin 2009 neuve (à l 'époque 6500 euros !) et en 8800 KM
03-12-2016 07:05j 'ai eu 8 pannes .
je l 'ai revendu par l'intermediaire du Concessionnaire 4100 euros moins d'un an après et je suis retourné vers mes 2 125 cg Honda qui eux ne tombent jamais en panne . les deux roulent toujours le premier acheté neuf en 2006 a le kit chaine d'origine à 90000KM et le deuxieme acheté d'occasion à 6000KM et 1000 euros a maintenant 76000 KM .
Aucun problème si ce n'est le changement des charbons de démarreur (40 euros ) tous les 40000KM...
Avec la royal Enfield le démarreur a laché 2 fois !et heureusement les réparations ont été prises en garantie .
C 'est le circuit electrique et l'injection qui furent la cause des pannes à répétition sans qu'aucune réparation n 'en vienne à bout!
Au niveau consommable c 'est vrai que la chaine n' étant pas à joints toriques et de mauvais qualité il faut s'attendre à son remplacement vers 10000KM seulement
Consommation: 5 litre/100 c 'est pas spécialement économique vu les performances de la moto : il est conseillé pour la fiabilité du Moteur de ne pas s 'attarder au delà des 100 km/h ...
I have the only "Woodsman" in France. The finish is not good but the thing is reliable. I can get spares a whole lot cheaper through the UK agent including post and the Avon tyres are less than half price when sort through Webmoto etc. The ride being a sort of off roader falls into the shocking category. I have two other bikes, Virago's 535 and they are far more comfortable, however if you want a cheap, no one is going to nick it go to work bike then the Woodsman or probably the ordinary Bullet is just fine.
30-12-2016 09:06The gas gauge is sort of reliable, when it stays on you are out of gas, but you probably knew that! They will leak oil! You may have electrical faults, certainly change the battery for a better quality gel type, fuse carries fail they do not like the current, electrical regulators from other bikes work providing they are of the same current. Regularly spay the bike with a quality rust proofer eg ACF50. Check oil regularly.
Parts a whole lot cheaper from [www.hitchcocksmotorcycles.com] and the parts list is online.
PS being 70 the Woodsman not too good for my back.
J'ai possédé pendant plus de 20 ans une Bullet 500 et ne m'en suis jamais lassé, une merveille. Mais attention, à lire ça et là, certains sont déçus à l’usage. Une Bullet 500 c'est 27 ch. pour 187 kg et ça se traine, ça n’a pas la fiabilité d’une Honda, il faut être un minimum bricoleur, ça rouille dès que vous lâchez le chiffon mais sur les petites routes de campagne en été quel bonheur …
07-01-2017 09:12J’ai essayé une continental gt il y a 4 mois et j’avais gardé le souvenir de performances anémique, de hauteur de selle excessivement basse, de pot d’échappement assourdissant et brûlant les chevilles.
20-08-2018 20:32La bullet à l’air plus équilibré quand à elle, mais pour qui?
Un amateur de Bullet d’1m78 ou plus c’est possible?
Essayé il y a quelques année en vue d'un truc pépère pour aller au boulot et les petites balades, mais à par la gueule bien sympathique, elle n'est pas du tout adapté à la circulation actuelle. A moins d'être à fond casque bol et veste en coton huilé, elle a vraiment un comportement d'un autre temps.
23-07-2019 09:49J'ai passé mon chemin pas convaincu du tout de l'intérêt de la chose. En revanche la nouvelle 650 essayé récemment m'a bien plu. Une machine au comportement bien plus moderne et dont le moteur n'a rien d'anémique. Pour avoir essayé une W800 il y a quelques années, la RE interceptor est autrement moins surannée dans ses prestations.
Pour la différence de prix, y'a pas photo, je vote pour la 650 des deux mains.