Livre : Nous rêvions juste de liberté

Un road-trip initiatique à moto à travers les Etats-Unis

Un livre d'Henri Loevenbruck

« Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté. » Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher.

Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Lœvenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.

L'auteur

Henri Loevenbruck est né en 1972 à Paris de parents professeurs d'anglais qui lui ont transmis sa passion pour la culture anglo-saxonne. Musicien pendant son adolescence, il suit des études littéraires puis finit par enseigner le Français en Angleterre. A son retour il multiplie les métiers passant de barman à web-designer ou professeur d'anglais avant de se tourner vers le journalisme. Il fonde la revue "Science-Fiction magazine" et publie son premier roman à 25 ans.

Rencontrant le succès avec ses trilogies fantastiques, Henri Loevenbruck se lance dans le thriller en 2003. Ses polars lui permettront d'être nommé Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres. Tandis qu'il renoue avec sa passion pour la musique en participant au dernier album de Renaud et en rejoignant le groupe Freelers, il rompt avec le polar en 2015 pour publier "Nous rêvions juste de liberté", un road-movie à l'américaine traitant de son autre grande passion : la moto.

Henri Loevenbruck :

De manière indirecte, il y a toujours eu chez moi un lien entre l’écriture et la Harley. Depuis que je suis gosse, j'ai toujours été fasciné par la moto et en particulier par le célèbre V-Twin américain, que mon grand-père me montrait sur de vieilles photos datant de la Libération. Comme beaucoup de gamins de ma génération, j'ai été inspiré par l’esprit de liberté, de rébellion, l’amour de la route qu’avaient cristallisé en nous des films comme Easy Rider.