Extremes Freestylers: Interview de Tom Pagès

Un rider amoureux de son public

Un saut de maître réussi pour l'anniversaire de Rémi

Les Extremes Freestylers à Paris et votre frère qui vous regarde en plus, ça rajoute du bonheur?

Tom Pagès:

Ouai, je sais qu'il va pas être content de moi encore, mais bon. [Rires]

Et pourquoi?

Tom:

Parce qu'il est super exigeant, mais c'est bien, il en faut. [Sourire]

Le dernier saut que vous passez, seuls deux ou trois riders au monde le passent. Qu'est ce que ça fait?

Tom:

Le dernier saut, c'est surtout que la veille de venir ici, je suis tombé dessus et je me suis abîmé l'épaule. Je l'ai essayé deux fois et je l'ai raté deux fois. Donc j'avais un peu la pression sachant que je savais pas encore si j'allais réussir. C'est pour ça que j'ai mis un eu de temps. Au début on m'a dit "tu passes après les sauts", au final ils ont enchaîné avec les danseuses, moi j'étais pas prévu, ça m'a mis un petit coup de pression, mais c'était sympa.

Le public qui vous scande avant le saut, ça aide ou ça force?

Tom:

Oui, enfin ça force, c'est plutôt que c'est l'essence, j'ai besoin de ça pour pouvoir y aller. Le freestyle c'est ça, c'est du show, sans le public, il n'y a pas de show.

En parlant de public, à la fin on vous voit jeter tout ce que vous avez aux spectateurs

Tom:

Je les remercie comme je peux, j'ai que ça, mais si j'avais plus, je leur jeterai encore plus. Je les remercie parce que sans ce public, il n'y a pas cette soirée. En plus ils ont fait le déplacement de toute la France, j'ai remarqué qu'il y a très peu de parisiens. Ils suivent tous notre sport, c'est super cool, ça fait plaisir.

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