Essai moto Royal Enfield Bear 650
Gentiment mal léché
Bicylindre en ligne de 648 cm3, 47,4 ch et 56,5 Nm, 214 kg, 7.640 euros
Royal Enfield a introduit la Fury en 1959 sur le marché américain dans le but de concurrencer la BSA Gold Star et la Velocette Venom. Bien que basée sur le modèle Bullet de la marque indienne, elle était principalement destinée à une utilisation tout-terrain et en compétition. Et pas qu’un peu ! Avec son cylindre en alliage d'aluminium à chemise en fonte et un piston à haute compression, la puissance de la vénérable Bullet, alors de 27 ch, passe à 40 unités au sein de la Fury ! Furibonde, en effet, la vieille… Toutefois, seulement 191 Furies ont été fabriquées entre 1959 et 1963, date de fin de production. Une période qui va créer une légende dans l’ouest des USA quand un jeune motard de 16 ans, Eddie Mulder alias « Fast Eddie », devient en 1960 (et reste à ce jour) le plus jeune vainqueur de la Big Bear Run (l’ours est l’emblème de la Californie), course déjantée dans le désert alentour. Ce « gamin » prit le départ aux côtés de 765 autres pilotes et passa la ligne d’arrivée en premier, au bout de 4 heures et 21 minutes d’épreuve. Seuls 196 le suivront… ce qui laisse imaginer la difficulté du parcours.

Sur ce fait d’armes, la marque indienne veut baser ceux à venir de sa nouvelle machine Bear 650, hommage à cette course et à ce pilote mythique. Pour ce faire, Royal Enfield nous convie à Alcalà de Henares (Espagne) pour découvrir son ours apprivoisé.
L'essai vidéo de la Royal Enfield Bear 650
Découverte
Si vous pensez voir une Interceptor 650 modifiée ou un scrambler Triumph en apercevant la Bear, vous n’avez pas abusé du LSD avec quelques hippies. En effet, la nouveauté repose sur la base du roadster indien et reprend des codes évoquant ceux d’une Scrambler 400 X anglaise. Toutefois, la nouveauté sait diffuser le charme intemporel des Enfield et celui, très cool, de l’ambiance californienne poussée un cran plus loin. L‘idée n’est plus seulement d’aller à la plage avec Pamela, mais bien de l’y emmener à moto jusque sur le sable, en gardant l’esprit de course en tête. Au moins vaguement, avec la plaque à numéro apposée sur les flancs latéraux. Large cintre renforcé aux cornes relevées, optique à LED ronde siglée, fine poignée de maintien passager en arceau, selle typée, pneus mixtes et ligne d’échappement modifiée assurent d’emblée la personnalité du modèle.

Emprunté à l’Interceptor, le long bidon de 13,7 litres coiffé d’un bouchon chromé en cabochon participe au style un peu suranné. L’ours indien repose sur un châssis toujours conçu par Harris Performance et propriété d’Enfield. Dédiée à son usage de scrambler, la nouveauté repose donc sur un cadre tubulaire en acier à double berceau. Renforcé au niveau de la colonne de direction, il soutient l’esthétique twin parallèle de 648 cm³ (78 x 67,8 mm). Simple, refroidi par air et huile, le bouilleur intègre cependant un haut moteur performant avec 4 soupapes par cylindre, actionnées par un unique arbre à cames (Honda fait le même choix pour sa CB750 Hornet…). Imposant, il forme un solide cœur de 70 kilos, dont les carters latéraux et couvre-culasse en aluminium noir mat tranchent avec les autres éléments métalliques et la massive culasse tranchée de larges ailettes de refroidissement.

Le bloc impressionne toujours par ses dimensions, sa présence esthétique, mais aussi sa conception mêlant tradition et modernité. Rappelons que le centre R&D de la marque a ses quartiers à Leicestershire (Angleterre). Des doubles corps d'injection et l'allumage sont pilotés par une électronique Bosch. Raffinement technique, les basculeurs arborent des roues au point de contact avec des cames aux surfaces légèrement concaves… Avec ses manetons de bielles calés à 270 degrés sur leur vilebrequin forgé associés à un arbre d’équilibrage, la mécanique assure un fonctionnement velouté. Super carré, le rapport alésage-course favorise les bonnes montées en régime. Le bicylindre Enfield développe toujours 47,4 chevaux à 7 150 tr/min, mais la Bear bénéficie de 56,5 Nm de couple, soit 3 unités supplémentaires, disponibles 500 tours plus bas que les autres machines de la gamme, soit 5 150 révolutions par minute. Des valeurs dopées par une transmission finale raccourcie avec une couronne de 41 dents (+3 que l’Interceptor). Modernité encore, avec un embrayage assisté à glissement limité. La mécanique est certifiée Euro5+ et ses performances la rendent compatible avec la législation A2.

Pour son usage hors route éventuel, la Bear modifie le trajet de ses collecteurs, qui filent côté droit vers un unique silencieux tubulaire court. Protégé d’une plaque ajourée, il aurait pu reprendre l’esthétique plus compacte de celui de l’Himalayan 450 mais aussi se placer en position haute.

La nouveauté dévoile un angle de colonne plutôt ouvert de 26,1° et une chasse également assez élevée de 116,7 mm pour un empattement long de 1 460 mm. Des valeurs un peu fortes pour une machine dont l’agilité doit être une qualité première. Pour jouer les gros bras, la Bear s’équipe d’une solide fourche inversée Showa de 43 mm, mais dénuée de réglage, associée à des doubles combinés amortisseurs ajustables en précharge. L’ensemble ne débat que sur 130 mm à l’avant et 115 mm à l’arrière. Un choix là aussi étonnant.
Le tout est campé sur des jantes rayonnées en alliage d'aluminium de 19 et 17 pouces. Hélas à chambres, elles chaussent des gommes indiennes MRF (Madras Rubber Factory – propriété de Pirelli) de référence Nylorex en 90/90 et 140/80 mm. L'ABS Bosch à deux canaux contrôle le travail des étriers Bybre (Brembo). À l'avant, une pince à deux pistons mord un simple disque de 320 mm. Le ralentisseur opposé à simple piston serre une frette de 270 mm. De quoi stopper le poids contenu de 214 kilos de l’ursidé stylé.

Point appréciable chez Royal Enfield, la qualité va croissant à chaque nouvelle itération. Ainsi, la Bear 650 présente une finition soignée, notamment les soudures du cadre assez discrètes et la quasi-absence de durites ou fils disgracieux. L’ensemble du train avant est valorisant et l’agencement des différents éléments n'appelle aucune critique, tout comme les différents revêtements des parties métalliques. Côté droit, le twin est d’autant plus séduisant, protégeant ses collecteurs derrière des protections. La visserie est de qualité et les corps d'injection s’abritent derrière des caches chromés ajourés. Enfin, l’intervalle de maintenance est de 10 000 km et la marque garantit ses machines trois ans.

En selle
La Bear se rêve en athlète et place son pilote à 830 mm du sol sur une jolie et longue selle à caissons surpiqués. L’assise pourrait être un poil plus moelleuse et étroite à sa jonction avec le réservoir. Assis plus haut, on bénéficie d’une flexion des jambes moindre sur les repose-pieds un peu plus reculés que ceux d’une Interceptor, faisant basculer légèrement le buste pour aller chercher le large guidon. Équipé d’une barre de renfort, le cintre paraît un peu loin de prime abord, mais la position se révèle pertinente à l’usage. Le charme fonctionne pleinement quand les gants se posent sur les poignées ballon, aux côtés des commodos ovalisés ornés des charmantes molettes rotatives typiquement Enfield. On y trouve aussi deux discrets boutons « home » et « Info » commandant l’unique compteur circulaire TFT couleur de 4 pouces. Aux deux affichages « pseudo-analogique » et « numérique » s’ajoute une disposition dédiée à la cartographie. Un appui long sur le poussoir de droite permet d’activer cette fonction. Connecté, il peut alors afficher une navigation Google Maps native. Un appui court change les modes de pilotage. À gauche, un joystick permet de naviguer dans les informations. Le compte-tours périphérique encercle le tachymètre, la jauge de carburant, une horloge, le témoin de rapport engagé et l’indicateur de température extérieure. Très complet, l’ensemble manque cependant d’ergonomie et de logique de navigation. Épais et fuselés, les leviers sont réglables en écartement par vis micrométriques, un port USB-C est fixé derrière le bloc instrument.

En ville
Séducteur, le twin Enfield est un ravissement à animer, quelle que soit la machine qu’il entraîne. Sa légère inertie lui donne cette rondeur subtile propre à la mécanique indienne. Discrète au ralenti, la Bear fait craquer son échappement sur les coups de gaz. Souple, le twin délivre 80 % de son couple maxi dès 2 300 tours, amplifié par les effets de la couronne de 41 dents qui permet ainsi au scrambler d'évoluer en cinquième au légal urbain. Associée à la douceur de l'embrayage et du sélecteur, la mécanique assure ainsi des déplacements agréables. De plus, la machine avoue une manœuvrabilité correcte avec un rayon de braquage dans la norme. Facile à emmener, la Bear promène son caractère débonnaire sur les avenues, sa relative compacité se jouant du trafic. Pour tenter de prendre l’ours indien à rebrousse-poil, sortez-le de sa tanière quotidienne.

Autoroute et voies rapides
Sans fulgurance, la mécanique sait toutefois vous emmener sans traîner à près de 170 km/h avant rupteur. Le twin se fait moins suave à hauts régimes, sa voix grince et de légères vibrations s’emparent alors des repose-pieds. La Bear s’apprécie davantage jusqu’à 110 ou 120 km/h en mode liaison rapide, vers 5 000 tours. Positionné plus en avant que sur une Interceptor, le pilote lutte plus facilement contre la pression de l’air. À cette allure, aucune vibration pénible ne vient perturber l'équipage. Seules les bonnes pulsations du bicylindre accompagnent les évolutions, preuves de l'équilibre mécanique de son vilebrequin forgé associé à un arbre d’équilibrage. On peut alors enchaîner les kilomètres sans fatigue. Et, quelle que soit l’allure, la Bear se relance très correctement sur les plus hauts rapports. Bon point, les rétroviseurs restent parfaitement clairs et renvoient un large champ. Enfin, la stabilité et la tenue de cap sont sans reproche. Mais là n’est pas le biotope du scrambler qui préfère gambader sur des voies moins contraintes.

Départementales
Lancé sur le réseau secondaire, l’efficacité de la couronne de 41 dents est évidente et rend le twin toujours plus disponible. Sa large plage de couple permet de limiter les changements de rapports, même dans le sinueux. Calés à 270°, les manetons de bielles donnent un allumage irrégulier pour un caractère mécanique affirmé. Ce moteur fait la séduction de la Bear, qui trouve en ce cœur des rugissements fort adaptés, tout en élégance et efficacité. À 80 km/h, le twin relance l'équipage tranquillement sur le dernier rapport, à 3 000 tours et permet déjà des dépassements efficaces. Mais si l'on maintient la machine au-delà de 4 500 tours en quatrième, les remises de gaz propulsent alors vigoureusement l’équipage. Trépidant, l‘échappement souligne avec force les évolutions dynamiques. Si la puissance est modeste, les sensations mécaniques sont bien plus grandes et les montées en régime ne laissent percevoir aucune faiblesse. L'inertie relative et plaisante de son équipage mobile délivre un charme constant. Au rétrogradage, les pulsations font vibrer l'air et l'on peut empiler les rapports sans crainte, l'embrayage à glissement limité évitant tout blocage de roue.

Nous ne pourrons vraiment adopter un pilotage incisif, tant la météo couvre le bitume d’une eau froide et persistante. Mais les décélérations progressives et amples sont à la hauteur du caractère enjoué de l’ours de Chennai. Au levier, le toucher de frein est franc, seule la course de la pédale est encore trop limitée, défaut récurrent des Enfield. On pestera davantage contre les suspensions bien trop fermes, grevant notamment le ressenti du train avant. La fourche travaille peu en hydraulique, s’enfonce sur les transferts de masse, mais remonte assez vite. L’arrière bouge à peine et la Bear semble manquer d’agilité et de naturel en virage serré. Les enveloppes MRF, un peu typées, n’aident pas non plus à compenser ce manque de sensation, guère aidées par des conditions de roulage hivernales. Leur grip semble toutefois correct et les accélérations ne font pas valser l’ours. Enfin, la géométrie de la nouveauté peut aussi expliquer ce léger manque d’évidence.

Malgré tout, la Bear 650 est sensible aux appuis sur son large guidon et aux repose-pieds, point important pour un pilotage précis. Son réservoir étroit s’enserre également agréablement et le pneu arrière en 140 mm autorise des changements d’angle sans temps mort. En pilotage enroulé, le quatrième rapport peut tout faire, emmenant la Bear avec entrain. Doucement épicée, la mécanique indienne distille toujours son charme séducteur et l’ours vous porte sereinement.
Partie-cycle
Simples et sains, châssis et géométrie pâtissent de suspensions trop limitées, tant en réglage qu’en débattement. On aurait apprécié 150 mm de course avant et arrière pour prétendre réellement à des sorties hors bitume. Étonnant que Royal Enfield ait tant limité sa créature semi-sauvage.

Freinage
Efficace à rythme habituel, progressif et suffisamment puissant, l’équipement est correctement dimensionné. Lors des plus fortes décélérations, on apprécie le ressenti et la modulation au levier pour stopper les 214 kg du Scrambler. Dommage, le frein arrière demande un peu d’attention pour ne pas bloquer subrepticement la roue avant que l’ABS ne se déclenche.

Confort/Duo
La course (trop) réduite des suspensions, une précharge générale trop importante et une hydraulique trop fermée limitent l’agrément au guidon. Les amortisseurs transfèrent ainsi bien trop vivement les défauts du bitume… Et même si la selle reste épaisse, le confort n’est pas l’apanage de la Bear, qui se fait un peu bourrue sur ce point.

Consommation
Non mesurée.
Conclusion
Séducteur, l’ours Royal Enfield bénéficie d’une personnalité typée, en accord avec son image de scrambler à la rugosité élégante. Seule la sensation d’une machine un peu figée en amortissement réduit notre enthousiasme et ses suspensions aux débattements trop réduits nous semblent incongrues. Si la pluie n’a pas aidé à affiner notre avis sur ce point, la Bear me semble néanmoins la plus pétillante des 650. Tonique et charmante, elle est efficace sur route, où elle assure un agrément mécanique permanent. Qu’en sera-t-il hors bitume ?

Tarifé, selon les coloris, de 7 640 à 7 890 €, le scrambler indien est un animal accessible qui ne demande qu’à être apprivoisé. On opposera à sa belle carrure la plus gentille Honda CL500 (6 099 €), également plus lisse en dessin et la dynamique Triumph Scrambler 400 X (6 595 €), à la belle polyvalence.
Élégante et efficace, la Royal Enfield Bear 650 est une créature qui aime tracer son propre chemin. Suivrez-vous sa trace ?
Points forts
- Esthétique
- Disponibilité moteur
- Dynamisme des relances
- Sélection précise
- Embrayage à glissement limité
- Sonorité flatteuse
- Efficacité globale
- Rapport prestations/prix imbattable
Points faibles
- Suspensions trop raides
- Course de pédale de frein trop courte
- Ergonomie électronique
- Joystick trop sensible
La fiche technique de la Royal Enfield Bear 650
Conditions d’essais
- Itinéraire : routes sinueuses, trempée
- Météo : variable, 5 à 11°C
- Kilométrage : 180 km
- Problème rencontré : aucun
Disponibilité / prix
- Coloris : Petrol Green, Golden Shadow, Two Four Nine
- Prix : de 7.640 € à 7.890 €
Equipements de série
- Embrayage assisté anti-dribble
- ABS arrière déconnectable
Equipements essayeur
- Casque Roof R0 200
- Blouson Detlev Louis DL-JM-8
- Jean Vanucci Armalith
- Basket Vanucci VTS2
- Gants Vanucci VAG-1 et VAG-4
Commentaires
Encore un petit effort sur quelques vis et ecrous ..
25-03-2025 18:39Plus cher que le honda 500CL japonaise qui va bien en suspension et caractère moteur et en ballade chemin sans être ridicule en sensations sur route viroleuses.
Du coup le prix semble plutôt élevé pour une production indienne et en plus faudrait une paire d amortisseurs EMC ..
Mais elle a un joli moteur a air et huile aussi agreable apparemment d apres Damien que ses soeurs ( pour avoir essayé)et l ensemble est très sympa esthétiquement.
Une belle Moto raisonnable en somme
@coxecab : si vous me permettez et n'ayant rien contre la CL500, ce n'est pas le même degré de finition, de look et de sympathie. La CL500 est sympa mais banale pour ne pas dire fade, le moteur est anémique en sensation (bon celui là ne fait pas bien mieux mais à le mérite d'être à air), la CL500 fait même l'impasse sur les jantes à rayons propre au genre.
25-03-2025 18:55Tous les goûts sont dans la nature mais pour le coup, on est sur une belle moto quand la CL500 est plutôt un mixte entre une CMX et une CB500x.
Ensuite Honda, du moins pour cette série de 500, n'est plus au niveau des standards de finition d'antan. J'ai eu la cousine à la CL500, elle roulait au bout de quelques semaines assez sévère sur la partie étrier de frein et refus de prise en charge par Honda France prétextant en gros que je n'ai pas à rouler sous la pluie et que si je le fais, je dois tout sécher...(Bien beau de parler de 5 ans z/de garantie)
Sinon je suis surpris que vous soyez en mesure de prendre 170km/h compteur quand sa cousine Shotgun plafonne à 130/140 à moteur identique mais certe, 25kg de plus.
En tout cas c'est une belle moto qui à la mérite de proposer autre chose que les chères Triumph !
J'abonde dans le sens d'horneteur, la finition de la CL500 est indigne de Honda (durites, radiateur et bocaux bien trop visibles, notamment), et l'aspect général reste très plastique. Les Royal Enfield, de par le choix des matériaux et la peinture, concernant cette Bear, sont bien plus en phase avec ce qu'attendent les amateurs de néo-rétros.
25-03-2025 19:42Bonjour,
25-03-2025 19:49Essayée semaine dernière.
Un bout de bois inconfortable, suspension indigne aussi bien arriere que la fourche devant. Faut rester sur bitume lisse.
Pourquoi RE se plante sur ce point précis ? alors que le reste est réussi..
Pourtant pas compliqué de faire des suspattes confortables.. à 7000/8000¤ faut il encore ajouter un budget pour remplacer ces suspensions ?
La moto est pourtant belle, les coloris dynamiques, tout est harmonieux, sauf le confort.
Les débattements de suspensions de cette Bear sont totalement indignes d'un scrambler. Rédhibitoire pour moi.
25-03-2025 20:36Je rejoins les avis sur la CL500 : bon confort de suspensions, moteur sympa, qualité Honda.
En tout cas, elle est bien jolie en jaune !
25-03-2025 21:03A comparer au scrambler 900 pas au cl 500 de 470cc
25-03-2025 21:17Difficile de comprendre l'impasse sur les suspensions. Il aurait fallu 150 mm de qualité à l'avant et arrière.
25-03-2025 22:02Sinon jolie machine.
Je préfère la 400 scrambler de Triumph. Un mono de 40 bourrin pour 30kg et 1000¤ de moins.
26-03-2025 06:00Le constat est le même à chaque fois selle et suspensions trop dures.
26-03-2025 08:11Ce qui rajoute encore du budget, ça sent la bécane sortie à l'arrache car je ne peux pas imaginer que les ingénieurs et marketeurs n'aient pas vus le problème.
L'Himalayan nouvelle version est connue pour avoir un bon amortissement, pour RE c'est une énorme erreur cette Bear.
Et c'est vraiment regrettable car elle est vraiment jolie.
26-03-2025 10:10En fait il faudrait plutôt un scrambler qui sera un mix entre l'hymalayan et la guerilla.
Bonjour,
26-03-2025 11:25Honda propose de plus en plus d'accessoires pour sa CL notamment une selle confort couleur caramel qui se marie bien avec le vert. Je partage aussi l'avis sur le 400Triumph. Ces deux concurrentes si t mieux suspendues si on en croit cet essai pour bien moins cher.
J'aime beaucoup le style des RE, et celle la me tente autant que l'interceptor... j'ai aimé le moteur, le son, la disponibilité moteur.
26-03-2025 11:47Par contre je trouve que le tarif pour une indienne un peux trop élevé.
Et le compteur est toujours décevant. Tout mettre sur un petit compteur cercle, je préférais en avoir deux.
+1 pour les doubles compteurs. Même Guzzi y a renoncé sur sa V7 spécial ...
26-03-2025 13:17Ça commence a faire chère l'enclume.
26-03-2025 16:49Autant il y a encore quelques temps RE pouvait ce targuer d'être bien placé niveau tarif autant la c'est sensiblement le prix d'une MT07.
Bonjour à tous, j'ai eu l'occasion de l'essayer samedi dernier et en effet les suspensions sont très durs. Le moteur est pourtant sympa avec un couple supérieur aux autres 650 de la marque grace à sont échappement 2 en 1 mais il y a aussi le poids, même si le centre de gravité est bas, j'aimerais trouver une moto à moins de 200kg. Comme dit plus haut je préfère aussi le scrambler 400x Triumph.
26-03-2025 23:23Un mono contre un bicylindre dans cette tranche de prix forcément le poids s'en ressent
27-03-2025 07:31La CL 500 est un bi sous les 200kg...
27-03-2025 16:06Avec 150cc de moins aussi
27-03-2025 16:18Les motos ne sont pas des clones, vouloir absolument comparer l'une à l'autre a ses limites. Le reste est question de choix personnel.
28-03-2025 06:52Cette Bear est sympa mais n'apporterait rien à ma panoplie.
Et de toute manière je n'achète plus que des motos qui ont de l'âge et que j'améliore ensuite.