- Moteur
- Comportement
- Confort
- Duo
- Equipement
Bien le bonjour de Bob'
Un réservoir de 9 litres, une selle strictement monoplace, une allure décalée, pas trop d'aspects pratiques : en dévoilant sa Bonneville Bobber, Triumph faisait une belle référence au passé mais prenait un risque commercial, tant cette machine ne donne pas dans le consensus. Et pourtant : cela a vraiment bien marché, au point que les ventes ont dépassé de (très) loin les objectifs.
Bref, ça a marché ! Les motards ont craqué pour ce look incroyable (et notamment le faux cadre rigide à l'arrière, avec ce sentiment que c'est toute la partie arrière qui amortit sur les bosses). Ici dans sa déclinaison HT (high torque), le 1200 vertical twin à refroidissement par eau développe 77 chevaux à 6100 tr/mn et 106 Nm à 4000 tr/mn. Souple et doté d'une belle allonge, on le fera travailler préférablement dans les mi-régimes où il donne le meilleur de lui-même. Le châssis est neutre, le confort est un peu ferme (mais avec 9 litres dans le réservoir, est-ce important) et le freinage (un seul disque avant) est un peu juste, vu le poids de près de 230 kilos, mais qui ne se fait pas sentir en roulant grâce au centre de gravité placé tout en bas. A noter que la version Black Bobber dispose d'un train avant différent, avec une roue de 16 pouces (au lieu de 19) et deux freins à disque.
Motards
- Age moyen : ans
- km moyen : 0 km
- ristourne obtenue : 0 %
- achat : 0%
- conduite : (0%)
- terrain : (0%)
Pneus montés sur Triumph Bonneville Bobber
Motos possédées auparavant
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Sélection de commentaires Triumph Bonneville Bobber