La minute
Je ne sais plus qui chantait ca...
Mais il y a des choses qui comme ca prelent au coeur.
Votre fille a vingt ans
Votre fille a vingt ans, que le temps passe vite
Madame, hier encore elle était si petite
Et ses premiers tourments sont vos premières rides
Madame, et vos premiers soucis
Chacun de ses vingt ans pour vous a compté double
Vous connaissiez déjà tout ce qu'elle découvre
Vous avez oublié les choses qui la troublent
Madame, et vous troublaient aussi
On la trouvait jolie et voici qu'elle est belle
Pour un individu presque aussi jeune qu'elle
Un garçon qui ressemble à celui pour lequel
Madame, vous aviez embellie
Ils se font un jardin d'un coin de mauvaise herbe
Nouant la fleur de l'âge en un bouquet superbe
Il y a bien longtemps qu'on vous a mise en gerbes
Madame, le printemps vous oublie
Chaque nuit qui vous semble à chaque nuit semblable
Pendant que vous rêvez vos rêves raisonnables
De plaisir et d'amour ils se rendent coupables
Madame, au creux du même lit
Mais coupables jamais n'ont eu tant d'innocence
Aussi peu de regrets et tant d'insouciance
Qu'ils ne demandent même pas votre indulgence
Madame, pour leurs tendres délits
Jusqu'au jour où peut-être à la première larme
A la première peine d'amour et de femme
Il ne tiendra qu'à vous de sourire Madame
Madame, pour qu'elle vous sourie...
j'sais pas mais c'est beau.
comme c'est le taquin et que je suis d'humeur joueuse
La digue du *** en revenant de Nantes ( bis )
De Nantes à Montaigu,
La digue la digue
De Nantes à Montaigu
La digue du ***
La digue du ***, je rencontre une belle ( bis )
Qui dormait le *** nu
La digue la digue
Qui dormait le *** nu
La digue du ***
La digue du *** j'arme mon arbalète ( bis )
Et j'lui fous droit dans le ***
La digue la digue
Et j'lui fout droit dans le ***
La digue du ***
La digue du *** la belle se réveille (bis)
Et dit " j'ai l'diable au *** "
La digue la digue
Et dit " j'ai l'diable au *** "
La digue du ***
La digue du *** non ce n'est pas le diable (bis)
Mais un gros dard poilu
La digue la digue
Mais un gros dard poilu
La digue du ***
La digue du *** qui bande et qui décharge (bis)
Et qui t'en fous plein l'***
La digue la digue
Et qui t'en fout plein l'***
La digue du ***
La digue du *** puisqu'y est qu'il y reste
Et qu'on en parle plus
La digue la digue
Et qu'on en parle plus
La digue du ***.
Cesco> c'est quoi ta chanson l'hymne du guide Michelin ?
Cesco, dehors...
Pour la chanson, Cath, je crois bien que Serge Reggiani
y était pour quelque chose...
...interprêtée par Reggiani ...écrite par Moustaki !
Aaaargh, grillé par Peterpan pour la composition ! :)
J'avais oublié...
...c'était il y a presque 30 ans ...donc sa fille doit approcher la cinquantaine maintenant !
Peterpan> en gros t'étais pote avec la fille non ?
et la tendresse, bordel ?
Cesco : ah, puisque tu le prends comme ca....
Ah ! Vous dirais-je Maman ?
Ah! vous dirais-je Maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous deux.
Il m'emmène dans le bois
Et me dit: "Déshabille-toi!"
Quand je suis nue tout entière
Il me fait coucher par terre
Et de peur que je n'aie froid
Il vient se coucher sur moi
Puis il me dit d'un ton doux:
"Écarte bien tes genoux"
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh vous conviendrez, Maman,
Qu'il a des idées vraiment.
Puis il sort, je’ne sais d'où,
Un p’tit animal très doux
Une espèce de rat sans pattes
Qu'il me donne et que je flatte
Oh le joli petit rat
D'ailleurs il vous l’ montrera.
Et c'est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu'il a trouvé, le farceur,
Où vous situez mon honneur!
Mais ce petit rat curieux
Très souvent devient furieux
Voilà qu'il sort et qu'il rentre
Et qu'il me court dans le ventre
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal
Complètement essoufflé
Il essaye de le rattraper
Moi je rie à perdre haleine
Devant les efforts d'Eugène
Si vous étiez là Maman
Vous ririez pareillement
Au bout de quelques instants
Le p'tit rat sort en pleurant
Alors Eugène qui tremblote
Le r’met dans sa redingote
Et puis tous deux nous rentrons
Sagement à la maison
Mon cousin est merveilleux
Il connaît des tas de jeux
Demain soir sur la carpette
Il doit m'apprendre la levrette
Si vraiment c'est amusant
J’vous l'apprendrai en rentrant
Voici ma chère Mamann
Comment je passe mon temps
Vous voyez je suis très sage
Je fuis tous les bavardages
Et j'écoute vos leçons
Je ne parle pas aux garçons!
Cesco..depuis le temps tu devrais savoir qu'il faut pas chauffer Cath!!!
c'est ce qui s'appelle se faire pourrir en beauté!!!
Pour cesco> poésie et bossa
L’amour : c’est beau ça !
I
Un soleil de plomb,
Une chanson d’amour,
Les yeux d’un garçon,
Plus aucun discours,
Juste une caresse,
Début de l’ivresse.
Refrain
C’est si beau l’amour,
Même sans toujours,
Même s’il est trop court,
Même un seul jour,
Même sans lendemain,
M’aimes-tu malin,
M’aimes-tu câlin,
M’aimes-tu au moins ?
II
Un peu de tendresse,
Un peu de rudesse,
Deux, trois mots d’amour,
Des doigts de velours,
Qui s’enfoncent en moi,
Un soupir d’émoi,
Des signes d’abandon,
De folie, de passion.
III
Ta voix qui m’appelle,
Miel qui m’ensorcelle,
Réveille tous mes sens,
Oublie toute décence,
Me susurre encore,
Me murmure plus fort,
Et enfin je gémis,
Juste ce mot, oui.
IV
Jusqu’à l’aube encore,
Tes mains cherchent l’or
De mes doux cheveux,
Le toucher soyeux,
De ma blonde toison,
Le sublime frisson,
Quand ma peau frémit
D’attente et d’envie.
V
Entrelacs de corps,
Jusque à l’aurore,
Quand tu plonges en moi,
Que tu deviens moi,
Mes jambes sur tes reins,
Nous ne faisons qu’un,
La houle de mes hanches,
Rythme la cadence.
VI
Alors comme une bulle,
De champagne de fête
Eclate dans ma tête
Ivre de funambule,
Un air de bossa,
L’amour : c’est beau ça !
La blonde -> c'est Colette Renard qui chantait la mienne, qui a chanté la tienne ?
A l'origine c'était des paroles pour un ami mais après écriture c'est inchantable par un homme.
Je la donne à un musicos si ça l'intéresse
La Blonde --> ...non tu te trompes ...à cette époque j'étais pote avec la mère !!
AMIS DE POESIE BONJOUR !!!!!!!!!!!!!!!!
cool, si on se faisait un bréviaire?
manuatao a écrit:
> cool, si on se faisait un bréviaire?
>
une quoi ????
Le zobi d'Ali Pacha
Gérard Doulsanne
Alla, Allala! Alla, Allala!
Le zobi d'Ali Pacha
L'est encor'plus gros qu'Allah!
Le zobi d'Ali Pacha est là.
1.Quand il entre à la mosquée
Pour y fair' son prière
Y peut pas s'agenouiller
Son zobi traîn' par terre.
Quand y s' promèn' dans la casbah
L'odeur attir' les mouches
Ca l' fait jouir sous son djellaba
Et ça coul' sur ses babouch's.
Les fatmas y s'en sont folles
Ell's le suc'nt ell's le fignolent
Il décharg' comme un puits de pétrole
2. Aïcha la fill' du cheikh
A chaqu' fois qu'il la r'nique
Il l'encul' toujours à sec
Ell' devient hystérique
Il va, il vient, il rentre, il sort,
Il défonc' la pastèque
Elle a du mal ell' crie bien fort
On l'entend jusqu'à la Mecque.
Quand il le glisse à la raie
On dirait un minaret
Tell'ment qu'il est gros ça fait pas vrai.
3. Les tantouz's du monde entier
Tous y font le voyage
Pour aller se fair' pointer
Par ce zobi sauvage
De beaux claouis tendus comme ça
C'est meilleur qu'un couscous
Quand ils y ont goûté un' fois
Les ****s y s'en veulent tous.
..ça partait pourtant bien avec la chanson de Reggiani !!! ...qu'est ce qui s'est passé ????!!!
...à mon avis , c'est ENCORE la faute à Cesco !
mais que fait la modération!!!!!!!!!!!!!
MDR, je les connaissais pas !
Cesco, t'es où ? On t'entend plus...
Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon pieu,
Elles préfèr'nt tenir ma queue
Qu'un cier-ge,
Qu'un cier-ge,
Qu'un cie-er-ge,
"O, fille de Camaret, où est ton pucelage?" (bis)
"Il s'en est allé sur l'eau
Dans les bras d'un matelot,
Il nage" (ter)
Le maire de Camaret vient d'acheter un âne (bis)
Un âne républicain,
Pour ******* les putains
D' Bretagne! (ter)
Le maire de Camaret à un troupeau de vaches (bis)
Mais comme il n'a pas d'taureau
C'est lui qui fait tout l'boulot
La vache (ter)
Mon mari que fais-tu là? Tu me perces la cuisse (bis)
Faut-il donc que tu sois saoûl,
Pour ne pas trouver le trou
Qui ***** ! (ter)
Mon mari s'en est allé à la pêche en Espagne (bis)
Il m'a laissée sans le sou
Mais avec mon petit trou
J'en gagne ! (ter)
Sur la plac' de Camaret, y'a un' statue d'Hercule (bis)
Monsieur l' maire et m'sieur l'curé
Qui sont tous les deux ****s
L'enculent (ter)
Une simpl' supposition que tu serais ma tante (bis)
Je te ferais le présent
De l'andouille qui me pend
Z'au ventre (ter)
Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du *** nous prend
Tout bouge ! (ter)
Le curé de Camaret a les ******** qui pendent (bis)
Et quand il s'assoit dessus
Ell's lui rentrent dans le ***
Il bande (ter)
Amélie si tu m'aimais, tu me ferais des nouilles (bis)
Et pendant qu'elles cuiraient
Tu me les chatouillerais
Les ******** " (ter)
Si les fill's de Camaret, s'en vont à la prière (bis)
C'n'est pas pour prier l' Seigneur
C'est pour ******* le prieur
Qui bande (ter)
La servante à M'sieur l' curé, a le ventr' qui gargouille (bis)
C'est qu'elle en a trop mangé
De l'andouille à M'sieur l' curé
D' l'andouille (ter)
Au couvent de Camaret il n'y a que d' vieill's nonnettes (bis)
Réservées à l'aumônier
Qui aime à les confesser
Il baise (ter)
Quand vous irez communier et qu' vous mordrez l'hostie (bis)
Prenez garde à Jésus-Christ
Mordez pas dans son zizi
Prudence... (ter).
Cesco>> j'vais l'dire!
ya aussi la bi*e à dudule, Cesco à toi !
Bon, puisqu'on est dans les "classiques"...
De profundis morpionibus
Tra, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, Ah! (bis)
Un jour de fêt' comm' saint' Thérèse,
A Saint' Gudul' chantait la messe
Elle sentit soudainement
Un énorme chatouillement.
Cent mille poux de forte taille
Sur la motte ont livré bataille
A nombre égal de morpi-ons
Portant écus et mori-ons.
Dans un bouzin de tous les diables,
Le choc fut si épouvantable
Qu' les femm's enceint's en accouchant
Ch!aient d' la m.rde au lieu d'enfants.
La bataille fut gigantesque,
Tous les morpions mourur'nt ou presque
A l'exception des plus trapus
Qui s'accrochèr'nt aux poils du c.ul.
Le général, nouvel Enée,
Sortant des rangs de son armée,
A son rival, beau chevalier,
Propose un combat singulier.
C'est un général plein d'audace
Descendant de l'antique race
Des morpi-ons que Mars donna
A Vénus quand il la ba!sa.
Un morpi-on motocycliste,
Prenant la raie du *** pour piste
Dans un virage dérapa
Et dans la m.rde s'enlisa.
Monté sur une pair' d'échasses
Un vieux morpion que l'on pourchasse,
Sur une motte trébucha
Les yeux au ciel il expira.
Puis au plus fort de la bataille,
Soudain frappé par la mitraille
Le maréchal des morpi-ons
Tomba mort à l'entrée du c.on.
Un morpion de noble origine,
Qui revenait du bout d' la p!ne,!
Levant sa lance s'écria:
"Le morpion meurt, mais n'se rend pas!"
Et ils bouchent toute la fente,
Que les morpions morts ensanglantent
Et la vallée du c.ul au c.on
Etait jonchée de morpi-ons.
Et pour reprendre l'avantage,
Les morpions luttaient avec rage;
Mais leurs efforts fur'nt superflus,
Les poux gardèrent le dessus.
A cheval sur une rou.pette,
Tenant à la main sa lorgnette,
Le capitaine des morpions
Examinait les positions.
Soudain, voyant plier son aile,
Il dit à ses troupes fidèles:
"Ah! mes amis! Nous somm's foutus,
Piquons un' charge au fond du c.ul".
Transpercé malgré sa cuirasse
Faite d'une écaille de crasse,
Le Capitaine Morpi-on
Est tombé mort au bord du c.on.
En vain la foule désolée,
Pour lui dresser un mausolée
Pendant huit jours chercha son corps
L'abîme ne rend pas les morts!
Un soir, au bord de la ravine,
Ruisselant de fou.tre et d'urine,
On vit un fantôme tout nu
A cheval sur un poil de c.ul.
C'était l'ombre du Capitaine
Dont la carcasse de vers pleine
Par défaut d'inhumati-on
Sentait le marolle et l'arpion.
Devant cette ombre qui murmure,
Triste, faute de sépulture,
Tous les morpi-ons font serment
De lui él'ver un monument.
En vain l'on chercha sa dépouille
Sur la p!ne et sur les deux cou!lles:
On ne trouva qu'un bout de qu.eue
Qu'un sabre avait coupé en deux.
On l'a recouvert d'une toile
Où de l'honneur brille l'étoile
Comme au convoi d'un général
Ou d'un garde nati-onal.
Son cheval à pied l'accompagne;
Quatre morpi-ons grands d'Espagne
La larme à l'oeil, l'écharpe au bras,
Tiennent les quatre coins du drap.
On lui bâtit un cénotaphe
Où l'on grava cette épitaphe;
"Ci-git un morpi-on de coeur,
Mort vaillamment au champ d'honneur".
Douze des plus jolies morpionnes
Portèr'nt en pleurant des couronnes
De fleurs blanch's et de poils du c.ul
Qu'avait tant aimé le vaincu.
Restés un peu plus en arrière,
Assis en rond sur leur derrière,
La cro.tte au c.ul, la larme à l'oeil,
Tous les morpions étaient en deuil.
Au bord du profond précipice,
On rangea les morpions novices
Ils défilèr'nt en escadrons
En faisant sonner leurs clairons.
Tandis que la foule en détresse,
Tout en pleurant disait la messe,
L'adversaire de l'onguent gris
Monta tout droit au paradis.
Sur une couill' grosse et velue,
On érigea une statue
Au capitaine des morpions,
Mort bravement au fond d'un c.on.
Et l'on en fit une relique
Que l'on mit dans un' basilique
Pour que les futurs bataillons
Sachent comment meurt un morpion.
Depuis ce jour, on voit dans l'ombre
A la porte d'un caveau sombre,
Quatre morpions de noir vêtus,
Montant la garde au trou du c.ul.
Depuis ce temps dans la vallée,
On entend des bruits de mêlée,
Les ombres des morpions vaincus
Hant'nt à jamais les poils du c.ul.
Et parfois par les soirs de brume,
Quand sur la terr' se lèv' la lune,
On voit les âmes des morpions
Voltiger sur les poils du c.on.
Et voila, tu postes un truc plein de bons sentiments, et nous v'la avec des chansons paillardes...
Et apres, on va encore dire "c'est la faute à cath"
Vilaine !!! :)