Origine des mots
Savez-vous quelle est l'origine du mot "F*U.C_K" ?
Et bien, sous le règne d'Henri VIII, la population anglaise a dramatiquement diminuée (genre de moitié) suite à des épidémies ou guerres ou je ne sais quoi encore.
Ce cher Henri VIII était inquiet pour l'avenir de son pays.
Alors, il s'est aperçu qu'il avait plein de bagnards dasn ses prisons ainsi que de prostituées.
Du coup, il a organisé des rencontres entre ces 2 catégories socio-professionnelles (si l'on peut s'exprimer ainsi...) pour repeupler son pays.
On a appelé "ces rencontres" : Fornication Under Control of the King" d'où F*U.C_K.
La moitié des Anglais descendent donc de prostituées ou de criminels ; ceci explique cela...
Je vous assure que ce ne sont pas de bêtises !!!
De même, d'où provient, et de quelle origine est le mot OK ?
On utilise ce mot dans quasiment toutes les langues, mais encore une fois d'où vient-il ?
Et bien il faut remonter à la Seconde Guerre Mondiale.
Les soldats Américains, lorsqu'ils rentraient d'une mission-commando réussie, en informaient leur commandement avec le mot OK, qui signifiait "Zero Killed" ou "0 Killed" -> OK !
Ben pour OK, ca vient plutot de "All Correct", trifouillée phonetiquement en "Oll Korrect", puisque deja typographié vers e, 1800 et des brouettes....
Au Québec, il y a eu les filles du Roy et le résultat est plutôt pas mal !
V
Origine des mots avec le suffixe -ASSE
Pé.tas*se
Parmi tous les mots en asse, celui-ci fait figure de référence, et revient au goût du jour ces temps-ci. A l'origine, on appelait comme ceci une prostituée occasionnelle ou débutante. Aujourd'hui, ce terme sert surtout à évoquer une fille sexchy et vulgaire, habillée de facon très voyante, avec une poitrine en plastique et une jupe de la même matière. On dit parfois une "superpé.tas*se" (si c'est Pamela Anderson) ou une "tass-epé" (si c'est Veronika Loubry). Attention : à partir d'une certaine heure, il peut s'agir d'un compliment.
Rada.sse
Le "rade" désigne le comptoir d'un café ou d'un bar. Au départ, la rada.sse est donc, elle aussi, une prostituée, mais pas débutante. Elle serait plutôt sur le retour, assise sur un tabouret, en train d'attendre sa clientèle en éclusant quelques consommations offertes par la maison. Il y a chez la rada.sse quelque chose de très pathétique : on l'imagine racontant sa vie, le rimmel dégoulinant. On pourrait dire que la radasse est à la pé.tas*se ce que Courtney Love est a Ophélie Winter. Mais on ne le dira pas parce que ce ne serait gentil pour personne.
Pou-ffias.se
Incroyable mais vrai : la ****** possède deux orthographes, avec un ou deux "f". On préfère les deux "f" qui insistent sur une certaine lourdeur. Car si "pou-ffias.sse" dénomme aussi une femme de mauvaise vie (comme "pé.tas*se"), le terme n'a jamais pris au fil des années la même connotation valorisante au quatrième degré. La pou-ffias.se demeurera toujours une sorte de pé.tas*se boudinée que personne ne drague. Ce qui peut la transformer à tout instant (et de façon imprévisible) soit en rada.sse, soit en gro.gn.asse. Si vous avez du mal à suivre, relisez depuis le début.
Co***sse
Attention : on grimpe ici d'un cran dans la grossièreté. Autant les autres termes en asse gardent un côté affectueux, autant ici nous avons affaire à une insulte irréversible. Comme son nom l'indique, la co***sse est une pé.tas*se co**e, ce qui fait beaucoup pour une seule personne. Principalement, ce qui différencie la co***sse de la pé.ta*sse, c'est qu'on ne verra jamais un play-boy se vanter de fréquenter des co***sses.
Gro.gn.asse
Du verbe "grogner". La gro.gn.asse est une pé.tas*se de mauvaise humeur, qui vous agresse non seulement visuellement, mais aussi verbalement. Sachez que, s'il vous prend l'envie de traiter quelqu'un de gro.gn.asse, il faut vous préparer à l'éventualité d'une réponse hystérique, voire hurlée. La gro.gn.asse est bruyante, ce qui la différencie de la rada.sse, qui est simplement en bout de course.
Blond-asse
L'argot est injuste. En effet, on ne dit jamais "brun-asse". Cela s'explique sans doute par le fait qu'il n'y a pas de fausses brunes (sauf Uma Thurman dans "Pulp Fiction", mais c'est l'exception qui confirme la règle). "Blond-asse" est un terme majoritairement utilisé par les brunes afin de marquer leur territoire. Ainsi, on imagine assez mal ce mot dans la bouche de, mettons, au hasard, Claudia Schiffer.
Par ordre du Roi : F.U.C.K the P.O.L.I.C.E !
OK, c'est plus vieux que ca : Jacquouille (ne vers 1100) dit deja Okéééééééééééé*
*voir l'excellent documentaire intitule "Les Visiteurs"
:):):):):):):):):):)
Faux, archi faux, dans la mesure ou, Jacquouille premier du nom, apprit ce mot, durant son voyage dans une faille temporelle en l'an 1992...
D'ailleurs, c'est Jacquard, et non Jacquouille qui employa ce mot en 1112...
Aulasse : mot dont les origines sont situes au fin fond du lyonnais. Abandonnant la tauromachie notamment pendant la période du Careme, les canuts ont utilisés la boule stomacale provoquée par une carence en nourriture et se sont mis à taper dedans. Certaines règles obscures aidant c'est devenu un jeu proche d'une invention britannique appelée football. Le "olé" puis le "aulé" tauromachique devint le "aulasse" puis le "aulas" de nos jours. Attention ne pas confondre avec le "ash hole" usité dans le verlan des banlieues en réaction au "football lyonnais" pratiqué par les classes zézés ........
Enfin, je crois, j'en suis pas sûr ....
jacquart...jacqouille....peu importe...
que des gueux de toute facon...:):) :)
bien degourdi >> on s'en tape
Alors
On s'en tape (ou on s'en fout, on s'en moque, on s'en fiche) comme de l'an quarante:
L'origine de cette expression n'est pas connue.
Si elle est bien attestée à la fin du XVIIIe siècle, les lexicographes modernes ne sont pas d'accord sur son histoire.
Je vais donc en exposer ici les différentes hypothèses les plus fréquentes :
Certains évoquent l'an 1040, que les gens de l'époque auraient supposé être celui de la fin du monde, parce qu'étant l'an 1000 auquel on ajoute la durée de vie du Christ (40 ans).
Mais le doute est permis, puisqu'on m'a toujours dit que le Christ avait été crucifié à l'âge de 33 ans. En outre, cette expression ne serait-elle apparue que 7 siècles plus tard, si on avait vraiment dû se moquer de cette date dont tout le monde aurait eu peur pour rien ?
Selon Littré, il s'agirait d'une raillerie, par les royalistes, de l'an 40 de la République, année jamais atteinte par le calendrier républicain, mais sans qu'on sache vraiment pourquoi le chiffre 40 a été retenu alors que ce calendrier a eu une durée de vie bien plus courte.
Il pourrait également s'agir d'une plaisanterie des sans-culottes sur l'âge qu'aurait eu Louis XVI quelques jours après avoir un peu perdu la tête, grâce à l'invention de monsieur Guillotin ().
Elle viendrait enfin de la déformation d'une expression très populaire au XVIIIe siècle, y compris bien avant la révolution : "s'en moquer comme de l'Alcoran", ce dernier désignant le Coran à cette époque.
Alain Rey la rejette, faute de preuves, mais Claude Duneton la défend.
Il existait en effet, juste avant la révolution, un très populaire roman d'anticipation de Louis-Sébastien Mercier () intitulé "L'an 2440, rêve s'il en fut jamais" dans lequel un monde idyllique était décrit. Cette société plein de bonté, de sagesse et d'égalité (utopique, quoi !) d'un futur très lointain aurait provoqué les sarcasmes des sans-culottes supposés amener eux-mêmes une vie bien meilleure que celle sous la royauté.
Et ce serait le mélange de l'indifférence portée à cet an 40 très éloigné et de celle portée à l'Alcoran qui aurait transformé l'expression originale.
Suffit de demander
L'origine du mot mot est Inconnus ....