Essai Ducati Scrambler 800 Icon Dark
Gothique fun attitude
Bicylindre en L, distribution desmodromique, 54 kW à 8,250 trs/min, 189 kg, 8.850€
Modèle à succès, la Ducati Scrambler 800 bénéficie de sa propre signature au sein de la marque Ducati... à tel point que l'on pourrait imaginer que Scrambler est une marque à part entière ! Sa réussite tient en quelques mots : esthétique simple et séduisante, moteur pétillant et partie cycle légère et accessible. Et La Ducati Scrambler 800, c'est aussi un peu la France. Hé oui. Dessinée par le français Julien Clément, la machine est une vraie réussite esthétique. Forcément ! Un concept à l'évidence enjôleuse, élaboré en 2015 et décliné depuis en six versions et trois motorisations: 400cm3, 800 cm3 et 1100 cm3.
C'est bien sur la version midsize qui glane tous les lauriers. Mais pourquoi cette fascination ? C'est dans les années 60 qu'apparaît la traduction mécanique de cet idéal, sorte de synthèse absolue d'une ultime mobilité que définit le mot scrambler : grimper, avancer difficilement et définit donc assez bien le concept d'évolutions tout terrain. L'origine des Scramblers commence chez Ducati, avec l'ancêtre italien éponyme de 250 cm3, apparu en 1962. S'échapper du bitume et retourner à la nature, une idée simple qui se traduit par la création d'une machine idoine. Un roadster, souvent un twin alors, équipé d'un grand guidon pour faciliter le pilotage, de pneus à tétines et d'échappement en position latérale haute pour améliorer le franchissement. Un engin passant indifféremment de la route à la terre pour redonner à la moto une liberté pleine et entière. Bref, liberté, espace… des principes indissociables et essentiels de la notion motocycliste. Une moto forgée sur ces valeurs ne peut qu'être attractive. Surtout avec un peu (voire beaucoup) de marketing, transformant à l'envie l'Urbanus Simplex costarisé en hypster rebelle de synthèse.
Découverte
Signe de sa maturité, le Scrambler avait déjà doucement évolué en 2018, en esthétique, électronique et ergonomie. La version phare est bien sur l'Icon, déclinée en trois versions. La dernière du genre est une transcription habituelle de "l'entrée de gamme" (moins chère) chez le constructeur de Bologne. Cette version expurgée de tout superflu se nomme Dark.
Modèle de finesse et de compacité, l'Icon Dark est une petite moto. Avec son look discret, elle renforce ses qualités intrinsèques de simplicité, légèreté et authenticité. Mais le fun se fait lui aussi plus mesuré en passant du côté obscur. Il est également plus sobre en équipement. Ce qu'il y a en moins : rétroviseurs ronds très classiques et non profilés, clignotants à ampoules et non à leds et jantes non usinées (à peine différentes) et… 700 euros également comparé à la Yellow Icon. Tout en conservant l'essentiel des qualités. C'est à dire tout le reste.
Plus aucune différence avec ses copines. Sous le guidon arqué, l'optique frontale compacte intègre un bandeau circulaire d'éclairage diurnes (DRL).
Son habillage interne en X mime les protections historiques de phare. Hormis les indicateurs de direction à rappel automatique, l'éclairage est désormais à leds. De courtes écopes donne un peu plus de corps aux volumes étroits de l’italienne. Symbole fort de l'esthétique Scrambler, le réservoir acier de 13,5 litres type goutte d'eau est toujours flanqué de parements aluminium amovibles.
Dans son prolongement, la longue selle monobloc capitonnée et épaisse contraste avec l'aspect simple et étroit de la machine. On peut être un esprit libre mais tenir à son confort. Un évidement sous l'assise forme des poignées passager et l'habillage de la poupe est conclu d'un feu stop élégant. L'ensemble soigne le profil de la machine. D'autant que le garde boue arrière supportant l'immatriculation est fixé sur le bras oscillant, allégeant la poupe.
Sous les caches plastiques mimant les massives platines d'alu du Scrambler 1100, se révèle la structure du modèle 800. Un treillis tubulaire acier d'une seule pièce, court de la colonne de direction à la boucle arrière. On est loin des deux éléments fixés au bloc à refroidissement liquide des Monster 821 et bien plus proche du modèle M797 en châssis et motorisation. Ici, la structure soutient bien d'avantage le moteur. Et pas n'importe lequel : un desmodue donnant tout son charme et beaucoup de son style à la machine.
Le bloc arbore sa distribution desmodromique aux caches travaillés. Ses volumes laqués arborent de nombreux détails usinés. Ces finitions contrastent élégamment sur ce fond sombre. Mais ce sont surtout les carters supérieurs striés d'ailettes qui parlent aux amateurs de mécanique de caractère. Ce fameux twin en L de 803 cm3 à deux soupapes par cylindre est refroidi par air et huile. Avec son rapport alésage/course super carré de 88 x 66 mm, le pétillant bouilleur à deux arbres à cames délivre 73 chevaux à 8.250 trs.mn et 6,7 da.Nm, à 5.750 révolutions/minute. L'injection s'adjoint des corps papillonnés de 50 mm. Simplicité oblige, pas de gestion électronique des gaz, pas de contrôle de traction. Du pur, du vrai, du rebelle quoi !
Mais la mécanique est tout de même secondée par un embrayage multi-disques à bain d'huile, anti-dribble et assisté pour moins d'effort au levier.
Et du style, encore, toujours. Côté droit, les arabesques des collecteurs habillent leur courbes de protections en aluminium satiné ajourées. Même attention pour le silencieux d'échappement. Mais quel dommage de ne pas l’avoir en position haute, bien plus logique sur une machine voulu un rien joueuse en chemin… Ce dernier jouxte donc un esthétique bras oscillant aluminium de type banane, aux lignes élégantes et dynamiques. Ses mouvements sont confiés à un amortisseur toujours placé en positon latérale gauche: un détail apportant de la sportivité au Scrambler 800. De même, la fourche inversée Kayaba de 41mm en impose. Les deux éléments offrent un débattement de 150 mm. Là aussi, simplicité oblige, ces équipements restent simples; seul le combiné arrière est réglable en précharge.
L'iconoclaste italienne laisse tout de même un peu de sa liberté au profit de sa sécurité. Et d’une électronique logique pour un rebelle gothique 2.0. Une centrale inertielle Bosch 9.1 MP autorise la modulation du freinage ABS en virage. On ne s'en plaindra pas. D'autant que l'étrier avant Brembo à montage radial et quatre pistons n'est pas là pour le style, lui. Il attaque un unique disque de 330 mm appairé à un élément arrière de 245 mm et à une pince simple piston.
Le train directeur repose sur une roue avant en alliage, à 10 branches tangentielles, de 18 pouces, quand l'arrière est en 17 pouces. Une combinaison qui contribue au style "tout chemin" du Scrambler. En ce sens, il est chaussé de pneus Pirelli MT 60 RS, en 110 à l'avant et un large 180 à l'arrière. Ca, c'est un peu moins hors bitume...
Toujours racée, la Ducati Scrambler 800 présente une jolie finition, notamment au niveau moteur. Le Desmodue bénéficie à plein du style de son moteur "air-huile" et donc de l'absence de durites barrant le flanc de ses soeurs "liquides"… Moins volumineux, le bloc affine également ses lignes côté droit, offrant un ensemble harmonieux. Les câbles de la sonde lambda sont tout de même un peu visibles. Enfin, on apprécierait un sabot pour protéger le cylindre bas et le carter inférieur. Qualité appréciable du Scrambler 800 Icon Dark, son poids de 189 kg (tous pleins fait) est un vrai gage de vivacité et de facilité.
Les intervalles de révision et entretien des courroies de la transmission desmodromique sont de 12.000 km, plus rapprochés que sur les mécaniques récentes.
Enfin, les plus picousés du concept looké libre et détendu se précipiteront sur l’univers pétillant du Land of Joy. Ce dernier offre un vaste choix d'équipements machine et pilote pour être stylé jusqu'au bout des pneus et de la barbe.
En selle
L’Icon Dark 800 n’est pas seulement accessible en performances, elle est aussi physiquement des plus compactes. Sa selle culmine à un petit 798 mm, autorisant les plus petits gabarits à s’y sentir à leur aise. Et une version basse optionnelle autorise 20 mm de moins. Confortable l’assise invite à bord comme dans un sofa de famille. Les plus grands constateront que le sommet du réservoir jouxte presque celui de leurs genoux. Mais tous les gabarits se sentent à la cool sur le Scrambler Ducati. Gothique mais heureux… un des contrastes que propose ce modèle Dark.
Plutôt accueillante, la selle abrite un compartiment de stockage très réduit. Légèrement reculées, les commandes font doucement basculer le buste vers l'avant sur le large guidon à diamètre variable et aux longues cornes pointant vers le pilote. Des commodos ergonomiques aux poussoirs bien proportionnés équipent la machine. L'embrayage est à commande hydraulique pour plus de souplesse et les leviers sont réglables en écartement par vis micrométriques.
Gaine de câble d’accélérateur et durite de frein avant surplombe en une jolie arche le bloc instruments. Déporté à droite, entièrement numérique, ce dernier intègre jauge à essence et indicateur de rapport engagé. On retrouve bien sûr les fonctions usuelles : tachymètre, compte-tours, horloge et, via un curseur glissant, odomètre, deux partiels, température extérieure et un mode de réglage général. Enfin, l'italienne est pré-équipée pour le Ducati Multimédia Système et sa connexion bluetooth.
En ville
Le démarreur semble hésiter à éveiller le desmodué, comme on hésiterait à entrer dans la chambre d’un ado rebelle. Le bloc s'éveille toutefois de bonne grâce avec une voix tout aussi douce. Ben alors ? N’aurait-il pas encore mué ? Euro5 ne rend pas justice au twin deux soupapes. Les coups de gaz lui donnent un peu plus de présence même si certains eurent surement appréciés un peu plus de contestation sonore. Cependant, la discrétion a du bon, surtout à la longue et le bicylindre de Bologne sait convaincre. Peu de bruits filtrent également du bloc, pourvu d’un embrayage humide.
De fait, la Scrambler 800 Icon Dark semble cultiver une douceur générale. Commandes, embrayage et accélérateur participent à son évidence de prise en main en milieu urbain.
Le twin en L y fait également preuve de bienséance. Dès 2.000 tours sur les intermédiaires il accepte de se relancer sans trop cogner sur le 5eme rapport, à 50 km/h. Attention, sa vigueur espiègle pourrait vous surprendre et témoigne à nouveau de la double personnalité du Scrambler… Le moteur aime à tracter à 3 000 révolutions/minute et embarque son équipage. Et l’on y prend vite goût. D’autant que la docile Italienne se guide déjà avec facilité.
Exempts de vibrations, les rétroviseurs ronds lui confèrent finalement un champ plus large que ceux des Icon colorés. Egalement, sa sélection précise et douce contribue au charme des évolutions. La transalpine légère et basse est idéale pour déambuler sur les boulevards saturés ou les petites rues, dans le trafic dense des villes. Mais son angle de direction de 35° limite un peu l’aisance en manœuvre et demi-tour urbains. L’occasion d’aller voir plus loin que le bout de votre terrasse de café favoris.
Autoroute et voies rapides
Volontaire jusque là sur les intermédiaires, le twin se fait plus mordant en prenant ses tours avec aisance mais sans férocité aucune. Largement disponible, le desmodué de 803 cm3 montre d'avantage de caractère au-delà de 5.000 tours, proche de sa crête de couple 750 révolutions plus haut et aime aller vers les hauts régimes. La puissance prend alors le relais et vient vriller l'air d'un son métallique plus marqué quand le bi-cylindre flirte avec la zone rouge et le rupteur, à 8.500 tours. Presque 200 km/h en pointe mais sans grand intérêt pour cette machine plus dédiée au plaisir de rouler cool. Sans compter une ergonomie transformant votre port naturellement classe en un profil d’aérofrein arqué peu élégant.
Au légal autoroutier, soit 5.800 tr.mn, le régime est idéal pour relancer l'équipage en profitant du couple maximum. Sur le dernier rapport, le grondement discret du Scrambler 800 fait s’écouler le temps. De quoi donner à réfléchir à votre âme rebelle et enfiévrée. Sur la longue selle, vous aurez matière à réfléchir à votre prochain spleen-mais-cool. L’assise permet aux pus grands de se reculer et trouver une position plus confortable pour les jambes. Assez cogité, il est temps de passer aux dark fun.
Départementales et chemins
La Ducati Scrambler Icon Dark assume son coté doucement schizophrène, détendue de la rébellion. Ainsi, l’Italienne sait lier douceur et caractère sur un tempo mécanique des plus séduisant. C’est sur l’asphalte inégale des départementale que l'on profite de son charme. A 4.000 tours sur une sixième un peu longue, la mécanique vous relance sans trop se presser. Un rapport de moins vous envoie bien plus dynamiquement en avant.
Mais la Ducati se révèle sur le couple et dévoile alors une personnalité plus torturée, avide de courbes saignantes et de castagne virile. Avouant une légère inertie, la mécanique est un peu grasse et transmet ces accents transalpins inimitables. On prend donc instinctivement un pilotage coulé. Calé sur le quatrième rapport, on enroule alors la plupart des courbes sans mollir. Car le twin deux soupapes, sait conserver sa verve et son authenticité. Sa rondeur tonique délivre un agrément de chaque instant. Plus expressif aux mi-régimes, l'échappement accompagne les évolutions dans un grondement sympathique et surtout un ronflement de boite à air étudié.
L’Italienne est réactive aux appuis sur le guidon, mais aussi sur les repose-pieds. Le profil rond de sa monte de pneus et son boudin de 180 freinent à peine son côté culbuto. Ce dernier fait un peu « coller » l’arrière au changement d’angle. Pas trop grave, d’autant que l’excellent grip des pneus Pirelli MT 60 RS incite à mettre de l’angle et la géométrie agile lui conserve de la vivacité. S’inclinant d'un bloc en courbe, la Scrambler 800 est franche et neutre en virage, même bosselé. Facile à emmener, elle surprend par la capacité de ses suspensions à avaler tous les défauts de la route. De quoi mettre en danger les repose pieds et le silencieux d'échappement…
Saine à tout moment, offrant un remarquable accord de suspension, la Ducati offre un bon toucher de route. Certes, la fourche au débattement important plonge davantage, mais le bon travail de l'hydraulique avant et arrière permet d'attaquer sans état d'âme. De plus, l’inertie sur les changements d’angle reste assez faible grâce au poids contenu.
Son ABS gère l'inclinaison et la prise des freins sur l'angle conserve son assiette au Scrambler 800 Icon. De quoi affronter la virole sur un rythme hard métal avec des relances soutenues, laissant les 6,7 da.Nm de couple passer sur les pneus.
En mode spleen tranquille, le Scrambler est charmeur. Calé sur le quatrième rapport, vous flânerez avec efficacité et confort vers l’horizon bleu nuit de vos rêves solaires, sombres mais pas trop, cool mais dynamique quoique ça dépend… Plus on roule avec le Scrambler 800 icon Dark, plus on apprécie son évident et son fun communicatif. Comme une envie de vérifier la théorie génétique du chemin de traverse à son guidon. Vous irez remuer de la terre sans creuser votre tombe. Sa puissance limitée et son accélérateur très progressif mettent en confiance. A vous les joies de la glisse contrôlable. Mais attention toutefois : l’ABS non déconnectable et parfois intrusif peut mettre à la peine pour ralentir la machine. De quoi mettre un peu votre rébellion au pas.
Partie-cycle
Associé au cadre treillis rigide et au moteur porteur, les suspensions confèrent un agrément constant à la Scrambler 800. L'ensemble permet des performances très honnêtes sur le réseau routier. Seule la plongée de la fourche se ressent sur les plus fortes décélérations. Mais, sur cette machine capable d'emmener légèrement son pilote hors bitume, les transferts de masses sont logiques, limités et plutôt bien gérés. Sur l'angle, la machine conserve parfaitement le cap et ne se désunit sur aucune phase de pilotage, même sur routes défoncées. Ce n'est qu'à rythme trop élevé que l'on note davantage de mouvements.
Freinage
Là aussi le ressenti du frein avant est un peu grevé par le transfert de masse. Ainsi, la décélération à la prise du levier semble manquer un peu de mordant si l'on tape dans l'étrier. L'unique disque fait son travail sans rougir et la progressivité des éléments permet une conduite en souplesse, en accord avec la philosophie Scrambler. De plus, actionnés sur l'angle et même à vive allure, l'étrier ne fige ni ne relève l'Italienne lors de la prise des leviers. Et la centrale ABS active en inclinaison gère finement les pertes d'adhérence. Il se déclenche très discrètement mais se montre plus intrusif sur chemin. Un mode associé, comme sur la version Desert Sledge serait… cool. Sans reproche, la pince arrière délivre une vraie progressivité, bien utile en virage.
Confort/Duo
Position détendue et facilité de pilotage incitent à viser le vaste horizon. Surtout avec cette selle bien rembourrée et des suspensions efficaces. Les poignées du passager s'avèrent bien placées et autorisent les virées à deux sans risque de nuire au fun.
Consommation
Avec 6 litres au 100 km en conduite variée, l’autonomie avoisine donc les 220 km. Un pilotage sur le couple devrait pouvoir vous mener proche des 280 km d’autonomie.
L'essai de la Ducati Scrambler 800 Icon Dark en video
Conclusion
Bien née, la Ducati Scrambler 800 se montre toujours séduisante. Sa version Icon Dark, un peu moins équipée, ne démérite aucunement, reprenant intégralement les qualités fondamentales du modèle à succès de Bologne. L’économie substantielle rend elle aussi toujours plus accessible la petite italienne. Avec 700 € de moins, la version sombre s’affiche à 8 850 €. Au regard de sa partie cycle de très bonne facture, de ses performances et finitions globales, la Scrambler 800 Icon Dark est une des machines les plus séduisantes du segment. Tout en style et en efficacité dynamique, elle est un régal pour les déplacements quotidiens urbains et péri-urbains. La balade du week-end prend un parfum de malice un brin provocateur.
Et l’Italienne n’a guère de concurrente ! Seule la Triumph 900 Street Srambler pourrait jouer avec elle moyennant… 11.000 €, une fourche et un bras oscillant conventionnel et un moteur moins performant. L’Anglaise garde pour elle une vie mécanique tout aussi charmeuse, des roues rayonnées et un style hors pair.
A la croisée théorique des chemins, la Ducati Scrambler 800 a le champ large et la route dégagée. Sa version Icon Dark donne un peu moins de cool looking pour plus de rebelle-attitude. Si comme elle vous êtes en contraste, passez au rebelle gothique tout en restant fun.
Points forts
- Esthétique réussie
- Disponibilité moteur
- Confort appréciable
- Accord de suspensions efficace
- Gestion des transferts de masse
- Concept de personnalisation
- Permis A2 approved
- Pneumatiques polyvalents
- Finitions
Points faibles
- Instruments pas assez lisibles
- Pneu arrière un peu large
- Manque un sabot moteur
- ABS non déconnectable
Conditions d’essais
- itinéraire : routes sinueuses variées. Un peu de chemin en gravier et terre meuble.
- météo : frais, ensoleillé
- problème rencontré : RAS
Equipement essayeur:
- Casque Nishua NRX-1 Carbon
- Blouson Vanucci Tifoso
- Jean Vanucci Armalith 2.0
- Basket Vanucci Tifoso
Commentaires
Cette mto semble fort sympathique et agréable d'utilisation ....
02-07-2020 18:46Pourquoi acheter des monstres de 150 cv et plus. Elle est pas sympa cette 800 Icon Dark?
04-07-2020 20:52Une idée d'achat pour la saison prochaine...
Rouler en Ducati pour pas beaucoup plus cher que ma Guzzi... Pourquoi pas. J'aimais beaucoup le design de la Scrambler à sa sortie, du coup ça en fait une vraie concurrente des RE 650 et Guzzi V7. Triumph devrait baisser le prix de sa Street Twin.
13-07-2020 19:43Pour en avoir eut une .. je confirme ce que dit cet essai c est une excellente moto bien supérieure en chassis a la triumph street.. et en moteur surtout celles en plus ou moins 55 ch ..
22-07-2021 21:05D autant qu entre temps la selle et l amortisseur Ar semble avoir bien évolué.. c était nécessaire la première version faisait rapidement mal au cul..!
Côté fiabilité.. réellement aucun soucis .. et entretien facile ..faut juste que les concessionnaires vous identifie bien comme propriétaire d une scrambler 800 et pas d une panigale ..!
Au prix d une pas tres belle MT 07 a mon gout .. elle serait la moto du « siècle « enfin sans les préjugés des vieux ringards motards ..
"Moto du siècle" carrément...
23-07-2021 23:30