Ambiance du mag : Le Repaire squatte le Ritz
Ecrin de luxe pour une conférence de presse dans un palace
Le métier de journaliste ce n'est pas tous les jours facile. Oui, il arrive que l'on doive se rentre aux quatre coins du monde pour vous ramener des reportages et des essais inédits. Mais tout n'est pas toujours tout rose.
Lorsque le temps est pourri et que les éléments se déchaînent, on n'a pas le choix : il faut bien l'essayer cette moto pour vous partager nos impressions. Demandez donc à Damien quel souvenir il garde des Husqvarna 701 Supermoto et Enduro sous la tempête au Portugal ? Ou à Philippe comment s'appréhende une sortie à moto sur le terrible Nürburgring ?
Oui, il faut parfois donner de sa personne. Mais il faut bien avouer que ce matin c'était un peu différent. Levé aux aurores nous avons dû braver le trafic parisien dans la fraicheur grisâtre de la Capitale. Rendez-vous au célèbre Ritz, au 15 place Vendôme !
Fondé par l'hôtelier César Ritz il y a plus d'un siècle (1898), c'est aujourd'hui l'un des plus célèbres Palace au monde, pour son luxe, mais aussi pour les hommes et femmes célèbres qui y ont séjournés, parfois longtemps, de Coco Chanel à Ernest Hemingway. Salle de sport, salon de beauté, la plus grande piscine privée de Paris qui bénéficie de musique classique diffusée sous l'eau, restaurant gastronomique, 3 bars, 142 chambres (à partir de 1000 euros la nuit) et plusieurs suites dont la fameuse suite Coco Chanel à 18.000 euros la nuit.
Certes, c'est juste pour le petit-déjeuner - j'ai pourtant essayé de prétexter l'éloignement pour y rester la nuit précédente. Je dois avouer que ce n'est pas le cadre habituel de toutes les conférences de presse, mais pour la première venue des enchères Coys of Kensington en France, il fallait bien un écrin à la hauteur de l'événement.
A ce luxe. Ca brille de partout. Il y a toujours quelqu'un pour vous resservir (merci pour le café, mais il faut arrêter monsieur, ça fait quatre de suite là) et une table de petit déjeuner aussi garnie qu'élégante. Tellement qu'on hésiterait presque à se servir du sucre de peur de casser quelque chose. Heureusement, quelques portraits de Steve McQueen peints sur des capots m'ont ramener tranquillement au monde réel.
Et en plus, on en a profité pour bizuter Alexandre qui vient tout juste de rejoindre la rédaction. Il y a pire comme bapt^me du feu...
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