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Essai scooter SYM ADXTG 400

Entrez dans un nouvel air…

Monocylindre 4-temps de 399 cm3, admission variable Hyper-VVS, 34,9 ch et 37 Nm, 213 kg

Essai scooter SYM ADXTG 400En 2017, Honda mis secoué le marché du deux-roues motorisé en poussant un cran plus loin son projet d'hybridation de la moto et du scooter en commercialisant le X-ADV (tout juste renouvelé pour 2025), sorte de mariage en trail et scooter dérivé de la base de l'Integra.

La recette a connu son succès et forcément en face la concurrence s'est mise à l'oeuvre pour se lancer sur ce créneau du scooter "adventure". Du moins en apparence, car au départ les premiers modèles se sont surtout faits routiers au look de baroudeur et de cylindrée plus modérée. Cela a poussé Honda à répliquer avec l'ADV 350.

Après Kymco et le DTX360 ou Peugeot Motocycles et son XP400, c'est SYM qui a dégainé à son tour sur le segment du scooter adventure midsize avec l'ADXTG 400. Ici, le constructeur taïwanais s'attaque frontalement au leader japonais en développant un SUV à deux roues qui semblent laisser la place à un peu de polyvalence.

Le look est agressif avec cette signature lumineuse annoncée comme inspirée par les crocs du tigre à dents de sabre. C'est d'ailleurs pour cette référence que tient le TG (Tiger) de son nom.

Mais c'est surtout sa technique qui semble prometteuse entre son châssis pensé pour évoluer même en tout terrain, avec un bras oscillant en aluminium, un centre de gravité très bas, des suspensions ajustables ou encore un monocylindre à admission variable Hyper-VVS, l'ADXTG 400 présente aussi un équipement complet comprenant, entre autres un pare-brise réglable, un compteur numérique et un bon espace de rangement.

En attendant que son prix définitif et sa date de lancement en France soient officialisés par SYM, nous avons eu l'occasion d'aller vérifier les promesses du constructeur lors d'un essai sur et hors route. Alors, vrai baroudeur ou simple GT looké ?

La chaîne d'info moto