english

Zhumeurs : la GoldWing

En quoi la reine des routière Honda est-elle mythique ?

La rédaction vous donne son avis sur la question

Les Z'humeurs
  • Alexis

    Alexis, Journaliste

    Parce qu'en plus de 40 ans, la Gold a su évoluer avec son temps (en prenant le sien) en restant une icône du tourisme grand luxe tout en apportant de sacrées innovations, à l'image de l'airbag ou du train avant du millésime 2018.

  • Damien

    Damien, Essayeur

    Souvent objet d'amour immodéré et parfois aveugle de leur propriétaire, les Gold engendraient un mariage de passion, niant certains manques. La nouvelle provoque une rupture de raison, plus généralement source de renouveau avant une nouvelle relation.

  • David

    David, Rédac'

    La Gold impressionne toujours et offre un contraste saisissant entre son volume et sa facilité de prise en main. J'ai encore plus adoré le bagger, toujours par cette rencontre du confort et de la facilité.

  • Hervé

    Hervé, Reporter

    Vous allez rigoler la Gold est une des rares motos sur laquelle je ne me sens pas en totale sécurité. Trop "automoto", trop lourde, trop imposante, trop sophistiquée ... Et pourtant l'un de mes meilleurs amis en a une et lorsque je vois ce qu'il fait avec cela me bluffe .. Je comprend que ce concept peut séduire mais en ce qui me concerne je suis certain que jamais je n'y souscrirai.

  • Philippe

    Philippe, Journaliste

    Quand j'avais à peine une vingtaine d'années, mon concessionnaire du coin avait fait des essais de la 1500 Goldwing. A l'époque, je m'étais pointé, l'air de rien et peur de rien surtout, avec ma 125 DTLC et j'étais l'exact opposé du client potentiel. Ce qui ne m'avait pas empêché d'avoir les clés pour faire un tour. ; l'époque était plus cool, certainement. Et tomber sous le charme, alors que a priori, c'était pas ma came. Depuis j'ai eu l'occasion de faire pas mal d'essais et de virées en Gold (dont les cols Suisses et c'était formidable). L'ami Damien m'a donné l'eau à la bouche pour le millésime 2018. Hâte de l'essayer !

  • Sandrine

    Sandrine, Journaliste

    J'ai découvert la Gold au Mexique en tant que passagère ! Pour faire des bornes dans le confort, c'était le pied ! Et des bornes, on en a fait, toujours frais et dispo pour apprécier le pays et ses habitants. Et même en version Bagger, le confort est au rendez-vous jusqu'à avoir fait la Norvège Paris en une traite, en moins d'une journée.

Plus d'humeurs

Commentaires

xjrlaser001

Je me souviens encore de la sortie de la toute première Gold, 4 cylindres, pas de carénage, une selle confortable mais "normale", son faux réservoir etc... On se demandait à quoi tout cela pouvait bien servir...
Puis un copain a acheté l'un des derniers modèles de la 1000, plus sophistiqué, avec plus d'électronique déjà, mais toujours pas de carénage, et les virées qu'il faisait avec nous faisait rêver...
Puis les évolutions successives, 1100, 1200 puis 1500 6 et 1800 6 ont poursuivi dans le fantasme de la routière absolue...
Personnellement je la trouve trop lourde, trop encombrante, pas assez maniable, mais je lui reconnais ce trip de l'engin à voyager...

26-01-2018 11:10 
 

Connectez-vous pour réagirOu inscrivez-vous