GFNM : la billetterie ouverte

Courses, village exposants, essais de motos, concerts...

Grande Fête Nationale de la Moto du 14 au 16 juillet au circuit Carole (93)

La Grande Fête Nationale de la Moto a confirmé son retour pour une quatrième édition l'été prochain et ouvre dès à présent sa billetterie pour l'événement.

Au programme de cette nouvelle édition, on retrouvera toujours les courses XRoadster, Xtreme Bike et SuperMot' Games ainsi que quelques nouveautés pour les classiques et les enfants. Les spectateurs pourront également profiter du village animé par une soixantaine de stands, des essais de motos et d'équipements ou encore des deux nocturnes animées par des concerts et des distributions de cadeaux.

Pour la première fois cette année, le rendez-vous se tiendra sur trois jours avec une nocturne le vendredi 14 juillet de 17h00 à 23h00. Information importante, l'entrée sera entièrement gratuite pour tous lors de cette nocturne.

Pour venir le samedi et/ou le dimanche, un pass de deux jours est proposé. Disponible à 25 euros le jour de l'événement, il est dès à présent possible de réserver son billet pour 15 euros. L'entrée reste gratuite pour les moins de 18 ans et les personnes à mobilité réduite.

Alain Brochery, organisateur de la GFNM :

La Grande Fête Nationale de la Moto se doit d’être fédératrice, cet évènement doit pouvoir accueillir le plus grand nombre, quel que soit le pouvoir d’achat de chacun. Beaucoup vivent des moments difficiles, la Grande Fête Nationale de la Moto doit permettre à ces derniers, le temps de ce merveilleux weekend, d’oublier puis de rêver…De nos jours il n’est pas concevable d’imaginer déplacer des foules sans tenir compte de cet aspect. L’équation est incontournable : le contenu d’un évènement doit être puissant, ce qui sous-entend qu’il a un coût, mais son prix d’entrée doit être en corrélation avec l’économie et non pas avec son contenu, même si celui-ci est audacieux. Ceux qui n’élaborent pas un format économique permettant d’appliquer cette règle, prendront le chemin de l’échec, nous vivons à l’ère du low cost, c’est ainsi et ce n’est pas négociable …