- Moteur
- Comportement
- Confort
- Duo
- Equipement
Le début du mythe
Si la très classique première génération de Triumph Speed Triple n'a connu qu'on succès d'estime, la deuxième itération de ce gros roadster a inauguré tous les ingrédients qui continuent de faire aujourd'hui le succès du modèle le plus emblématique du constructeur anglais. Certes, le trois cylindres injecté fait 106 chevaux en version full power mais l'ensemble demeure lourd à emmener à basse vitesse de part un poids pourtant contenu (196 kg à sec) mais haut placé. Le problème sera en partie réglé en 1998 avec le remplacement des bracelets par un grand guidon. Côté partie cycle, le cadre périmétrique en tubes d'aluminium cintrés est particulièrement rigide et les suspensions même assouplies demeurent fermes (moins qu'une Ducati Monster, autre référence des roadsters sportifs de l'époque) mais l'ensemble est équilibré et autorise bien des facéties, certains propriétaires allant jusqu'à faire frotter le collecteur côté droit, preuve du potentiel sportif de la bête... Les freins sont à l'avenant, du moins à l'avant, l'élément arrière étant plus là pour la décoration ! A noter que cette version du trois cylindres est nettement plus creuses que le générations suivantes sous la barre des 4 000 tr/min. Les versions produites en 1999, sous la dénomination T595, adoptent le bloc “dégonflé” de la sportive Daytona à peine plus puissant que celui de la T509 mais nettement plus coupleux...
Motards
- Age moyen : 55 ans
- km moyen : 134.000 km
- ristourne obtenue : 0 %
- achat neuf : 100%
- conduite : cool (100%)
- terrain : (100%)
Pneus montés sur Triumph Speed Triple (->96)
Marque |
Modèle | Nombre |
Bridgestone | BT 011 | 1 |
Motos possédées auparavant
Marque |
Modèle | Nombre |
Yamaha | TDM 900 | 1 |
Motos futures envisagées
Sélection de commentaires Triumph Speed Triple (->96)