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Essai roadster Kawasaki Z500
Un poil aZimutée
Bicylindre en ligne de 451 cm3, 45,4 ch et 42,6 Nm, 167 kg, à partir de 5.999 euros
La série des roadsters Z est indissociable du succès de Kawasaki, aussi bien à l'époque du lancement de la 900 Z1 qu'à l'époque moderne. Il faut dire qu'il y a 20 ans, le constructeur d'Akashi frappait fort en lançant sur le marché la Z750.
Depuis le style s'est affirmé et s'est décliné à toutes les cylindrées de la petite Z125 à la véloce Z1000, remplacée depuis par la Z H2 au quatre cylindres suralimenté. Mais en bas de la gamme, la marque japonaise a également mis sur les routes une version taillée pour les permis A2 avec la Z400, lancée pour le millésime 2019.
Alors que la norme Euro 5 se renforce en 5+, Kawasaki en profite pour faire évoluer son roadster d'entrée de gamme en lui faisant prendre un peu de coffre avec la nouvelle Z500 qui voit son bicylindre en ligne passer à 451 cm3 pour délivrer jusqu'à 45,4 chevaux et un couple maximal de 42,6 Nm.
On gagne donc en puissance tout en restant compatible, sans bridage, avec le permis A2. Le tout en gagne au passage un embrayage antidribble et s'offre une remise à niveau cosmétique qui mise une fois encore sur des lignes tranchées et agressives.
À côté du modèle standard, une version SE vient également enrichir l'équipement d'un compteur TFT connecté et d'un sabot moteur en plus des livrées bicolores.
Seulement voilà, dans le même temps Kawasaki n'a pas touché à sa partie cycle. Cette dernière est-elle encore suffisante pour permettre à la Z500 de se faire une place sur ce segment toujours plus concurrentiel ? Essai vidéo...
Commentaires
Un peu déçu comme évolution quand on voit l'arme qu'est la 400 qui a bouleversé le ssp300 j'aurais été kawa j'aurais assumé la carte de la legereté et du fun comme sur les 390 alors que là ça s'aseptise façon hornet 500.
09-04-2024 01:02Et même la Honda fournit des prestations honorables en matière de finition et d'équipement on ne peut pas dire de meme de la kawa.
À la rigueur ce bloc moteur avec châssis plus rigide pour une Versys 500 ça fait sens, il y a bien déjà ktm et quelques chinois sur le segment mais aucune autre marque n'inspire autant la confiance qu'un constructeur japonais, et pour une moto à vocation de rouler beaucoup je pense que c'est un argument en faveur de kawa. Plus que sur un roadster.